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Critique de florencem


Un tome un peu étrange et dont je n'avais plus aucun souvenir. du coup, c'était plutôt chouette car c'était une totale découverte pour une fois.

La première partie laisse à sourire et en même temps, le mangaka nous montre encore une fois que les personnages secondaires, aussi minimes soient-ils, ont leur place et leur moment de gloire. Chui en plus de détenir une information capitale qui aidera nos héros, doit affronter l'un des gardes d'Hadora. Quand on voit le petit rat et son ennemi, on se dit que la partie va être vite réglé, mais non. Chui a le temps de montrer combien il est courageux et que malgré ses faiblesses, il n'en reste pas moins un chef qui tient à ses subalternes et qui fera tout pour les protéger. J'avoue que cette première partie avait surtout quelque chose de mignon, malgré l'issue dramatique à laquelle on pouvait s'attendre.

Le retour d'un personnage change toute la donne et va par la suite donner un peu de renouveau à la trame. Enfin, en quelque sorte, car ce n'est pas la première fois qu'un ancien ennemi décide de se joindre à Fly.

J'ai cependant trouvé très bizarre cette idée de combat entre Henki et Baran… Ils sont du même côté vu qu'ils ont un ennemi en commun, mais Henki refuse que Baran se sacrifie en allant seul au combat. C'est très chevaleresque et on sait combien l'aîné des disciples d'Aban est une perfection d'honneur et de bravoure. Mais franchement, régler ça par un affrontement à mort… C'est un peu le délire. Baran est quand même l'un des êtres les plus puissants qui soit… Enfin, cela conduit à des événements plutôt sympathiques qui font que ce choix de trame plus qu'étrange fini par être oublié.

Là, où les choses vont devenir intéressantes, du moins, je l'espère, c'est que le père et le fils vont combattre côte à côte. Cela laisse présager des combats de haut vol surtout si l'on combien l'expérience de Baran avec la jeunesse et la fougue de Fly. Mais, Meruru nous casse totalement le moral avec son mauvais pressentiment. Ce qui n'est pas mal pour le côté dramatique et qui tempère l'élan d'optimisme des héros. A être trop confiants… Et puis, il y a cette partie de la mythologie des Chevaliers dragons qui me titille depuis un moment. Baran a dit qu'il n'y en avait qu'un par génération. Fly n'en ai pas un à part entière mais est-ce que l'univers acceptera l'existence des deux chevaliers encore longtemps… J'espère que oui…
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