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Critique de Etherckhos
De stéréotype en caractère torturé, en passant par la tête à claques ou le caractère effacé, Larissa Ione avait couvert, plus ou moins, la majorité des caractères qu'on pouvait attendre dans la fratrie des seminus, alors avec ce cinquième volume, je me demandais quelle nouveauté elle allait chercher cette fois-ci ou si ce volume ne reposerait finalement que sur le double thème de la seminus née d'une humaine (déjà abordé dans le précédent opus) et de l'inédit que représentait la seminus femelle.
Malheureusement, je n'ai pas été agréablement surpris... L'auteure n'a pas su insuffler ce qu'il fallait dans ce cinquième volet des aventures de la fratrie, et l'héroïne pourrait être, en soi, intéressante, excepté que le caractère de celle-ci ressemble à un étrange croisement entre Wraith et Shade, et que le manque d'idées pour la profondeur de ce nouveau personnage se ressent d'autant plus par la dilution qu'elle en fait dans une espèce de guerre généralisée entre lycanthropes d'origines différentes dans laquelle les humains viennent ajouter, en plus, leur grain de sel.
Comprenez-moi bien ! le personnage n'est pas mauvais en soi, et son partenaire, attendu depuis le précédent volet, n'est pas inintéressant, mais Larissa Ione semble simplement avoir trop tiré sur la corde seminus, et celle-ci n'a maintenant plus de répondant ; les problèmes inhérents à cette race, on les connaît, on en a fait le tour sous toutes leurs coutures, et du coup, ils ne constituent plus qu'une base sentant le réchauffé, une base qu'on finit par ignorer, et sans laquelle l'héroïne manque sérieusement de corps.
Le roman n'est pas mauvais, la tension impliquée par la guerre et le risque biologique est même intéressante.
L'univers continue à se développer un peu plus avec une plongée chez les lycanthropes et les dhampires qui nous permet de mieux comprendre ces races.
L'humour est régulièrement présent.
Mais... ce n'est pas assez... ce n'est plus assez... Après les quatre précédents volets, on attend quelque chose de plus, un peu de sang neuf et celui-ci est absent (et ce n'est pas la romance secondaire passablement banale qui rattrape la chose...)... Et pour ne rien arranger, l'auteure renoue avec ses travers d'écriture et sa difficulté à maîtriser correctement la narration...
C'est dommage... il y avait beaucoup de potentiel dans cette soeur tombée du ciel, bien plus que ce qui en a été fait et a finalement abouti à ce roman, somme toute, banal...
Malheureusement, je n'ai pas été agréablement surpris... L'auteure n'a pas su insuffler ce qu'il fallait dans ce cinquième volet des aventures de la fratrie, et l'héroïne pourrait être, en soi, intéressante, excepté que le caractère de celle-ci ressemble à un étrange croisement entre Wraith et Shade, et que le manque d'idées pour la profondeur de ce nouveau personnage se ressent d'autant plus par la dilution qu'elle en fait dans une espèce de guerre généralisée entre lycanthropes d'origines différentes dans laquelle les humains viennent ajouter, en plus, leur grain de sel.
Comprenez-moi bien ! le personnage n'est pas mauvais en soi, et son partenaire, attendu depuis le précédent volet, n'est pas inintéressant, mais Larissa Ione semble simplement avoir trop tiré sur la corde seminus, et celle-ci n'a maintenant plus de répondant ; les problèmes inhérents à cette race, on les connaît, on en a fait le tour sous toutes leurs coutures, et du coup, ils ne constituent plus qu'une base sentant le réchauffé, une base qu'on finit par ignorer, et sans laquelle l'héroïne manque sérieusement de corps.
Le roman n'est pas mauvais, la tension impliquée par la guerre et le risque biologique est même intéressante.
L'univers continue à se développer un peu plus avec une plongée chez les lycanthropes et les dhampires qui nous permet de mieux comprendre ces races.
L'humour est régulièrement présent.
Mais... ce n'est pas assez... ce n'est plus assez... Après les quatre précédents volets, on attend quelque chose de plus, un peu de sang neuf et celui-ci est absent (et ce n'est pas la romance secondaire passablement banale qui rattrape la chose...)... Et pour ne rien arranger, l'auteure renoue avec ses travers d'écriture et sa difficulté à maîtriser correctement la narration...
C'est dommage... il y avait beaucoup de potentiel dans cette soeur tombée du ciel, bien plus que ce qui en a été fait et a finalement abouti à ce roman, somme toute, banal...
