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Critique de odin062
Quoi de mieux qu'un confinement pour poursuivre et terminé la lecture de la Tour Sombre version Marvel Comics ? J'ai relu le cycle « Trahison » qui nous laissait sur la terrible scène d'assassinat de la mère de Roland, bien connue des fans.
Le nouveau cycle nommé « La chute de Gilead » correspondant aux tomes 9 à 11 en français, n'est pas tant une chute physique qu'une chute psychique. Clairement, on entre dans le très sanglant et les pertes sont lourdes. On le savait, il ne valait mieux pas s'attacher aux personnages mais on ne peut s'empêcher de souffrir de la mort de si bon profil.
C'est de loin, le meilleur cycle de la saga comics. Robin Firth, qui nous offre d'excellent « making of » en fin d'ouvrage, arrive subtilement à broder autour du peu d'éléments connus dans la saga romanesque de King. le personnage de Marten Flagg est très bien construit et on se plait à découvrir de nouveaux éléments de sa vie, de sa magie et de sa personnalité.
Je n'accroche pas des masses au style visuel, mais l'histoire prenant le dessus, on s'y fait, surtout arrivé au tome 11 !
Allez, vivement le dernier cycle mais clairement, Roland, prépare-toi à une longue traversée du désert…
Le nouveau cycle nommé « La chute de Gilead » correspondant aux tomes 9 à 11 en français, n'est pas tant une chute physique qu'une chute psychique. Clairement, on entre dans le très sanglant et les pertes sont lourdes. On le savait, il ne valait mieux pas s'attacher aux personnages mais on ne peut s'empêcher de souffrir de la mort de si bon profil.
C'est de loin, le meilleur cycle de la saga comics. Robin Firth, qui nous offre d'excellent « making of » en fin d'ouvrage, arrive subtilement à broder autour du peu d'éléments connus dans la saga romanesque de King. le personnage de Marten Flagg est très bien construit et on se plait à découvrir de nouveaux éléments de sa vie, de sa magie et de sa personnalité.
Je n'accroche pas des masses au style visuel, mais l'histoire prenant le dessus, on s'y fait, surtout arrivé au tome 11 !
Allez, vivement le dernier cycle mais clairement, Roland, prépare-toi à une longue traversée du désert…
