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Critique de bdelhausse
Voilà un tome deux qui se situe dans la lignée directe du premier. On creuse un sillon bien profound et tout à fait rectiligne dans le mélange de series télé. Entre Dexter et Walking Dead, mâtiné de Grey's Anatomy... et plein d'autres. La 4è de couverture mentionne les 6 tomes de la BD sous l'appellation "Saison 1", reference claire à l'univers des series télé.
On ajoute une couche au mille-feuille, d'ailleurs, en introduisant une touche d'amnésie chez Alice Matheson, reconnue par un type qu'elle ne connaît pas, et qui se souvient de la période d'avant l'adoption d'Alice par les Matheson.
Ajoutons que l'épidémie de zombies semble être l'oeuvre d'un désaxé, bien plus perturbé qu'Alice..., et la coupe maison avec supplement Chantilly est pleine.
L'esthétique est toujours au rendez-vous. le récit est pleinement linéaire, alors que sur le theme on pourrait avoir des choses plus structures, plus construites.
Cela se lit sans réelle surprise, sans déplaisir non plus (mais je suis assez fan de zombies). Les rouages sociétaux par rapport aux zombies sont plus ou moins crédibles, mais là non plus, il n'y a pas de choses vraiment innovantes, ni très approfondies. On a un black-out du centre de Londres par l'armée avec contrôles, mais on laisse les zombies prospérer dans le métro, ce qui du point de vue de Londres équivaut à empêcher les Parisiens d'emprunter le Périphérique... Bof.
J'ajouterai une faute d'orthographe dans le nom d'un personnage, dans les pages intérieures de la couverture, où Gibbs devient Giggs...
On ajoute une couche au mille-feuille, d'ailleurs, en introduisant une touche d'amnésie chez Alice Matheson, reconnue par un type qu'elle ne connaît pas, et qui se souvient de la période d'avant l'adoption d'Alice par les Matheson.
Ajoutons que l'épidémie de zombies semble être l'oeuvre d'un désaxé, bien plus perturbé qu'Alice..., et la coupe maison avec supplement Chantilly est pleine.
L'esthétique est toujours au rendez-vous. le récit est pleinement linéaire, alors que sur le theme on pourrait avoir des choses plus structures, plus construites.
Cela se lit sans réelle surprise, sans déplaisir non plus (mais je suis assez fan de zombies). Les rouages sociétaux par rapport aux zombies sont plus ou moins crédibles, mais là non plus, il n'y a pas de choses vraiment innovantes, ni très approfondies. On a un black-out du centre de Londres par l'armée avec contrôles, mais on laisse les zombies prospérer dans le métro, ce qui du point de vue de Londres équivaut à empêcher les Parisiens d'emprunter le Périphérique... Bof.
J'ajouterai une faute d'orthographe dans le nom d'un personnage, dans les pages intérieures de la couverture, où Gibbs devient Giggs...
