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Critique de Bouvy
Nouvel opus, nouveaux personnages. Ici, l'héroïne se nomme Giselle. Son histoire est racontée à la troisième personne. Giselle est Française. Elle est née à Orléans et dans ses rêves d'enfance, elle aimerait traverser l'Atlantique pour découvrir la Nouvelle-Orléans et faire le lien entre les deux villes. Elle est élève dans une prestigieuse école de danse à Londres. Hélas, la direction de l'école lui fait comprendre que malgré son travail acharné, elle ne sera jamais une danseuse au talent exceptionnel. Désœuvrée, elle rentre à Paris chez ses parents. Elle veut être indépendante et autonome. Elle trouve un emploi chez un fleuriste et c'est là qu'elle rencontre William, peintre reconnu. C'est le coup de foudre. Giselle fait tout pour devenir la muse et la maîtresse de l'artiste. Entre eux, l'amour est fusionnel. William l'entraîne aux Etats-Unis où Giselle va découvrir pour la première fois la magie du Bal. Mais un jour, un malheureux accident va handicaper William, ...
Pour ce deuxième opus de la nouvelle saga de Vina Jackson, nous savions suite à la fin du tome précédent que nous ne retrouverions plus Summer. Pour ce nouveau personnage, les auteurs ont choisi la troisième personne pour nous faire partager ses boires et déboires. Hélas, la magie ne prend pas. J'ai toujours eu le sentiment de marcher à côté des pompes du personnage, d'être étranger à ses émotions et ses sentiments. Le livre est frustrant d'un bout à l'autre. Les scènes d'érotismes sont toujours inachevées, scènes coupées en plein émoi. Parfois, l'histoire entame une direction inutile, qui ne nous emmène nul part. De plus, à certains moments de la narration, la vie de Giselle défile comme un résumé, l'intrigue, s'il y en a une, est bâclée, bafouée. Giselle s'égare et nous égare. Le livre agace, en crescendo. Apparemment, les auteurs ont décidé de faire du Bal le fil rouge de cette nouvelle série. Le Bal et son organisation secrète et toute puissante nous trempe dans l'invraisemblance.
L'histoire est complètement décousue, comme si les co-auteurs se seraient disputés et tournés le dos pendant la création de cet épisode.
En bref, je n'ai pas aimé, c'est profondément déçu que j'achève ce deuxième opus. Je pense que comme chez Vivaldi, les auteurs créeront les quatre saisons, je crois que l'automne est annoncé. Je me demande si je vais achever cette saga par devoir ou définitivement faire mon deuil de Vina Jackson qui, je dois l'avouer, depuis le premier "50 notes", produit finalement un bon bouquin sur deux, le mauvais étant vraiment mauvais !
Pour ce deuxième opus de la nouvelle saga de Vina Jackson, nous savions suite à la fin du tome précédent que nous ne retrouverions plus Summer. Pour ce nouveau personnage, les auteurs ont choisi la troisième personne pour nous faire partager ses boires et déboires. Hélas, la magie ne prend pas. J'ai toujours eu le sentiment de marcher à côté des pompes du personnage, d'être étranger à ses émotions et ses sentiments. Le livre est frustrant d'un bout à l'autre. Les scènes d'érotismes sont toujours inachevées, scènes coupées en plein émoi. Parfois, l'histoire entame une direction inutile, qui ne nous emmène nul part. De plus, à certains moments de la narration, la vie de Giselle défile comme un résumé, l'intrigue, s'il y en a une, est bâclée, bafouée. Giselle s'égare et nous égare. Le livre agace, en crescendo. Apparemment, les auteurs ont décidé de faire du Bal le fil rouge de cette nouvelle série. Le Bal et son organisation secrète et toute puissante nous trempe dans l'invraisemblance.
L'histoire est complètement décousue, comme si les co-auteurs se seraient disputés et tournés le dos pendant la création de cet épisode.
En bref, je n'ai pas aimé, c'est profondément déçu que j'achève ce deuxième opus. Je pense que comme chez Vivaldi, les auteurs créeront les quatre saisons, je crois que l'automne est annoncé. Je me demande si je vais achever cette saga par devoir ou définitivement faire mon deuil de Vina Jackson qui, je dois l'avouer, depuis le premier "50 notes", produit finalement un bon bouquin sur deux, le mauvais étant vraiment mauvais !
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