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Critique de cicou45
Troisième et avant-dernier tome de la saga "Les mystères d'Osiris", le lecteur voyage à la fois de façon terrestre sur les terres de Canaan et de Nubie mais aussi de manière céleste à travers l'initiation d'Isis en tant que grande prêtresse d'Abydos. Christian Jacq nous plonge de plus en plus au coeur de la magie que pratiquaient les égyptiens en invoquant leurs dieux afin qu'ils leur apportent la protection contre les forces du mal, émanant du dieu Seth.
Roman initiatique aux différents rituels exercés par ce peuple fascinant et envoûtant. Il est vrai que certains passages où cette fameuse magie opère peuvent paraître au lecteur tiré par les cheveux et extrêmement exagérés mais le lecteur doit se prêter au jeu et admettre des choses qui peuvent lui paraître invraisemblables mais en lesquelles les égyptiens croyaient. de toute manière, n'est-ce pas le but d'un roman que de nous faire rêver et de nous permettre au-delà des choses purement matérielles et concevables. Si le lecteur arrive à se détacher de son esprit purement cartésien, c'est que l'auteur aura alors réussi à faire régner sur lui l'envoûtement qui doit émerger de toute oeuvre fantastique ou merveilleuse. Ce fut mon cas.
Dans ce tome, l'ennemi se fait de plus en plus menaçant, l'étau se resserre, les complots toujours omniprésents et même si le lecteur a plus ou moins déjà l'intime conviction de l'issue finale, il lui arrive tout de même d'être surpris. J'avoue que je suis impatiente de commencer le dernier tome car je me demande comment Christian Jacq va amener le dénouement (bien que j'ai une idée sur la fin de cette tétralogie) et quelles intrigues il a bien pu encore inventer.
Roman initiatique aux différents rituels exercés par ce peuple fascinant et envoûtant. Il est vrai que certains passages où cette fameuse magie opère peuvent paraître au lecteur tiré par les cheveux et extrêmement exagérés mais le lecteur doit se prêter au jeu et admettre des choses qui peuvent lui paraître invraisemblables mais en lesquelles les égyptiens croyaient. de toute manière, n'est-ce pas le but d'un roman que de nous faire rêver et de nous permettre au-delà des choses purement matérielles et concevables. Si le lecteur arrive à se détacher de son esprit purement cartésien, c'est que l'auteur aura alors réussi à faire régner sur lui l'envoûtement qui doit émerger de toute oeuvre fantastique ou merveilleuse. Ce fut mon cas.
Dans ce tome, l'ennemi se fait de plus en plus menaçant, l'étau se resserre, les complots toujours omniprésents et même si le lecteur a plus ou moins déjà l'intime conviction de l'issue finale, il lui arrive tout de même d'être surpris. J'avoue que je suis impatiente de commencer le dernier tome car je me demande comment Christian Jacq va amener le dénouement (bien que j'ai une idée sur la fin de cette tétralogie) et quelles intrigues il a bien pu encore inventer.
