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Critique de Domichel
Assassinat chez les druides… Non, il ne s'agit pas d'une nouvelle aventure d'Astérix dans la forêt de Carnutes, ni chez les Bretons !
Pour les amateurs de roman policier mené avec flegme, prudence et précision, c'est un nouveau titre d'une des enquêtes de l'Inspecteur Higgins. Paru il y a déjà un an et demi, c'est sur le site exceptionnel de Stonehenge au sud-ouest de de Londres que cette histoire se déroule. En cette nuit de début d'été, une étrange procession se dirige vers les « alignements circulaires » de pierres immenses dressées, au-delà du souvenir des hommes. La dizaine de membres hommes et femmes en tenue rituelle, robes blanches immaculées ou rehaussées de motifs celtiques, s'approche du centre afin de rejoindre l'un d'entre eux arrivé plus tôt, l'archidruide Glamorgan le Roux, qui les a convoqués dans ce lieu symbolique, afin de leur transmettre un message important. Or après les paroles sacrées prononcées à tour de rôle par chacun, le silence de l'archidruide les intrigue et l'une des participantes commet un geste pourtant interdit dans la liturgie druidique, elle lui touche le bras pour finalement le voir s'effondrer au pied de son trône en bois, sous les yeux médusés de tous, et d'un personnage en retrait qui n'a rien perdu de la scène.
Il fallait bien que que soit Higgins, ex-inspecteur chef en retraite, qui mène l'enquête, poussé par son fidèle ami le superintendant Marlow de Scotland Yard, dépêché directement par la couronne britannique, laquelle semble être directement liée aux différentes obédiences druidiques de par le monde.
Une fois tous réunis dans une auberge tenue par un bien mystérieux patron, il faudra toute la patience, le calme et la détermination de notre fin limier pour venir à bout de toutes les réticences et tous les mensonges des druides reclus par l'autorité du Yard.
Christian Jacq se réjouit de laisser croire à ses lecteurs que le criminel est au point de craquer ; cela arrangerait bien Marlow, qui trouve le temps long, et mettrait bien tout le monde derrière les barreaux, persuadé qu'il est que chacun a le profil du coupable. D'autant que lorsqu'un deuxième cadavre est découvert, sa patience est à bout et l'avenir de la Couronne bien peu assuré.
M.G.
Pour les amateurs de roman policier mené avec flegme, prudence et précision, c'est un nouveau titre d'une des enquêtes de l'Inspecteur Higgins. Paru il y a déjà un an et demi, c'est sur le site exceptionnel de Stonehenge au sud-ouest de de Londres que cette histoire se déroule. En cette nuit de début d'été, une étrange procession se dirige vers les « alignements circulaires » de pierres immenses dressées, au-delà du souvenir des hommes. La dizaine de membres hommes et femmes en tenue rituelle, robes blanches immaculées ou rehaussées de motifs celtiques, s'approche du centre afin de rejoindre l'un d'entre eux arrivé plus tôt, l'archidruide Glamorgan le Roux, qui les a convoqués dans ce lieu symbolique, afin de leur transmettre un message important. Or après les paroles sacrées prononcées à tour de rôle par chacun, le silence de l'archidruide les intrigue et l'une des participantes commet un geste pourtant interdit dans la liturgie druidique, elle lui touche le bras pour finalement le voir s'effondrer au pied de son trône en bois, sous les yeux médusés de tous, et d'un personnage en retrait qui n'a rien perdu de la scène.
Il fallait bien que que soit Higgins, ex-inspecteur chef en retraite, qui mène l'enquête, poussé par son fidèle ami le superintendant Marlow de Scotland Yard, dépêché directement par la couronne britannique, laquelle semble être directement liée aux différentes obédiences druidiques de par le monde.
Une fois tous réunis dans une auberge tenue par un bien mystérieux patron, il faudra toute la patience, le calme et la détermination de notre fin limier pour venir à bout de toutes les réticences et tous les mensonges des druides reclus par l'autorité du Yard.
Christian Jacq se réjouit de laisser croire à ses lecteurs que le criminel est au point de craquer ; cela arrangerait bien Marlow, qui trouve le temps long, et mettrait bien tout le monde derrière les barreaux, persuadé qu'il est que chacun a le profil du coupable. D'autant que lorsqu'un deuxième cadavre est découvert, sa patience est à bout et l'avenir de la Couronne bien peu assuré.
M.G.
