Jaenada a changé de sujets avec
Sulak,
la Petite femelle et
la Serpe,(il se saisit de grandes affaires jugées mais où plane un doute; mais il n'a pas changé de style, toujours plein d'humour et de digressions
Il s'empare de procès et décortique les affaires en reprenant l'enquête à zéro. Ici, il évoque l'affaire Henri Girard (qui deviendra sous le nom de
Georges Arnaud un écrivain célèbre en particulier pour
le Salaire de la peur, porté à l'écran)
L'auteur dénonce des oublis, des mensonges lors de l'enquête.
J'aime beaucoup l'humour de l'auteur et ses célèbres digressions mais c'est un peu long, très ou trop détaillé, très documenté mais cela alourdit , à mon avis, le récit.
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