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Critique de NessM
Irlande - Rivalité de clans - Pouvoir
Une couverture très attractive et un résumé qui annonce du lourd. Je ne pouvais qu'être tentée. Et j'ai été servie. Enfin presque.
Si je me concentre sur l'histoire, je dois avouer que cela répond à mes attentes. Un jeune garçon de 5 ans assiste impuissant à l'assassinat horrible de sa mère. Pourquoi ? Pour un nom car c'est la femme du chef de clan ? Un acte de domination, de vengeance ou autre ? Et pourquoi est-il épargné ?
Quoi qu'il en soit, Puck Kelly va grandir avec ce traumatisme, cet esprit de vengeance et cet haine pure envers le clan rival. Et ce n'est pas son père qui va aller à l'encontre de ses obsessions. Il vit dans un monde de violence, il doit se faire respecter et être l'exécutant de son père. Même si au fond il est parfois contre.
Mais voilà, il y a aussi comment l'histoire m'est contée. Je ne sais pas si c'est le style initial de l'autrice ou la traduction. Mais j'ai vraiment eu l'impression que le texte était passé à la moulinette d'un programme pour obtenir un tel niveau que ce que l'on pouvait avoir aux début de Google traduction et non entre les mains d'un traducteur.
Dès le début j'ai eu ce sentiment d'incompréhension en lisant les phrases. Je me suis dit que peut-être, c'était volontaire et que le pdv de Puncky faisait ressortir délibérément un style extrêmement familier, et un style parlé du nord de l'Irlande permettant d'accentuer une différence. Mais c'était la même chose pour le pdv féminin qui n'a pas du tout les mêmes origines. Les répétitions de mots, les expressions incompréhensibles ou les tournures de phrases comme « Nous sommes dans une voiture de location, car nous n'aurions pas pris notre propre véhicule pour aller à Dublin, mais je souhaite tout à coup que nous ayons fait plusieurs voitures parce que […]» ou encore « cela me rappelle une saucée d'émotions » et « c'est sensé que cela arrive ».
A cela on ajoute des chapitres très longs et voilà comment je me suis enlisée. Je suis restée étrangère à ma lecture.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Une couverture très attractive et un résumé qui annonce du lourd. Je ne pouvais qu'être tentée. Et j'ai été servie. Enfin presque.
Si je me concentre sur l'histoire, je dois avouer que cela répond à mes attentes. Un jeune garçon de 5 ans assiste impuissant à l'assassinat horrible de sa mère. Pourquoi ? Pour un nom car c'est la femme du chef de clan ? Un acte de domination, de vengeance ou autre ? Et pourquoi est-il épargné ?
Quoi qu'il en soit, Puck Kelly va grandir avec ce traumatisme, cet esprit de vengeance et cet haine pure envers le clan rival. Et ce n'est pas son père qui va aller à l'encontre de ses obsessions. Il vit dans un monde de violence, il doit se faire respecter et être l'exécutant de son père. Même si au fond il est parfois contre.
Mais voilà, il y a aussi comment l'histoire m'est contée. Je ne sais pas si c'est le style initial de l'autrice ou la traduction. Mais j'ai vraiment eu l'impression que le texte était passé à la moulinette d'un programme pour obtenir un tel niveau que ce que l'on pouvait avoir aux début de Google traduction et non entre les mains d'un traducteur.
Dès le début j'ai eu ce sentiment d'incompréhension en lisant les phrases. Je me suis dit que peut-être, c'était volontaire et que le pdv de Puncky faisait ressortir délibérément un style extrêmement familier, et un style parlé du nord de l'Irlande permettant d'accentuer une différence. Mais c'était la même chose pour le pdv féminin qui n'a pas du tout les mêmes origines. Les répétitions de mots, les expressions incompréhensibles ou les tournures de phrases comme « Nous sommes dans une voiture de location, car nous n'aurions pas pris notre propre véhicule pour aller à Dublin, mais je souhaite tout à coup que nous ayons fait plusieurs voitures parce que […]» ou encore « cela me rappelle une saucée d'émotions » et « c'est sensé que cela arrive ».
A cela on ajoute des chapitres très longs et voilà comment je me suis enlisée. Je suis restée étrangère à ma lecture.
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