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Critique de laetitiarenaud82
Bon vous l'aurez devinez aux couverture, il s'agit de littérature érotique, alors oui, mais pas que!!!!
On parle aussi sentiments et surtout art, en effet Ronin est sensei (maître qui donne son enseignement à un élève) dans un club de jujitsu, art martial venant du Japon regroupant des technique de combats développées pour se défendre. C'est donc sur le tatami qu'aura lieu la première rencontre entre Amery (qui à la base ne vient là juste pour accompagner une amie qui veut apprendre à se défendre suite à une agression) et le Maître des lieux Ronin. Etant très intérressée par les arts martiaux, je fus enchantées par ce contexte, j'ai eu l'impression de me retrouvé comme il y a quelques année, sur le tatamis et entourée d'effluves de testostérone et de mâles tout en muscles (euh, on juge pas, hein, à la base je n'y allais pas pour ça, mais il y a pas de mal à regarder après tout)
On y découvre aussi un art art que je ne connaissais pas du tout ce coup-ci, celui du shibari (développé par les samouraïs enfin de ficeler les prisonniers sans les blesser ni leur laisser la moindre liberté de mouvement), au début j'ai pensé Bondage et bof, je m'imaginais le truc glauque de la personne immobilisée avec les lanière de cuir et la boule en guise de bâillon, pas le truc folichon quoi!! Mais là non, le shibari est avant tout un art visuel et sensuel, même pas bdsm (enfin à la base, parce que un peu quand même), la façon dont l'auteur décrit les séances m'aurait presque poussée à courir au magasin de bricolage le plus proche pour acheter de la corde. C'est tout simplement beau.Enfin je vais m'arrêter là sinon je vais tout vous dévoiler et ce n'est pas le but de ces chroniques. Livres à conseiller aux personnes averties, surtout pas ados.
On parle aussi sentiments et surtout art, en effet Ronin est sensei (maître qui donne son enseignement à un élève) dans un club de jujitsu, art martial venant du Japon regroupant des technique de combats développées pour se défendre. C'est donc sur le tatami qu'aura lieu la première rencontre entre Amery (qui à la base ne vient là juste pour accompagner une amie qui veut apprendre à se défendre suite à une agression) et le Maître des lieux Ronin. Etant très intérressée par les arts martiaux, je fus enchantées par ce contexte, j'ai eu l'impression de me retrouvé comme il y a quelques année, sur le tatamis et entourée d'effluves de testostérone et de mâles tout en muscles (euh, on juge pas, hein, à la base je n'y allais pas pour ça, mais il y a pas de mal à regarder après tout)
On y découvre aussi un art art que je ne connaissais pas du tout ce coup-ci, celui du shibari (développé par les samouraïs enfin de ficeler les prisonniers sans les blesser ni leur laisser la moindre liberté de mouvement), au début j'ai pensé Bondage et bof, je m'imaginais le truc glauque de la personne immobilisée avec les lanière de cuir et la boule en guise de bâillon, pas le truc folichon quoi!! Mais là non, le shibari est avant tout un art visuel et sensuel, même pas bdsm (enfin à la base, parce que un peu quand même), la façon dont l'auteur décrit les séances m'aurait presque poussée à courir au magasin de bricolage le plus proche pour acheter de la corde. C'est tout simplement beau.Enfin je vais m'arrêter là sinon je vais tout vous dévoiler et ce n'est pas le but de ces chroniques. Livres à conseiller aux personnes averties, surtout pas ados.
