L'histoire de
Frida Kahlo m'a toujours bouleversée. Quelle destinée ! Et quelle femme !
Jusqu'à présent, la meilleure biographie de Frida qu'il m'avait été donné de lire était celle de
Pierre Clavilier, «
Frida Kahlo : Les ailes froissées », mais désormais
Rauda Jamis va lui faire de l'ombre. Dans celle-ci l'auteur me semble avoir davantage insisté sur le premier amour de Frida, Alejandro Gomez Arias qu'elle a profondément aimé, tout autant, sinon davantage que Diego. Sur le mouvement surréaliste aussi et
André Breton en particulier. Et puis peut-être aussi, hélas, sur sa douleur, ses douleurs… jusqu'à la fin.
Encore une fois j'ai filé revoir, passage après passage, ses tableaux… « Mon oeuvre : la biographie la plus complète qui pourrait jamais être faite sur moi. » a-t-elle dit n'est-ce pas ?
Quant à Diego, ici encore il me laissera perplexe mais … reconnaissante pour l'hommage :
« Je vous la recommande, non en ma qualité de mari, mais en tant qu'admirateur enthousiaste de son oeuvre, acide et tendre, dure comme l'acier et délicate et fine comme l'aile d'un papillon, adorable comme un beau sourire et profonde et cruelle comme l'amertume de la vie. »
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