>
Critique de Meygisan
Retrouver Nicolas Jarry aux commandes d'une bd est toujours un véritable moment de bonheur, et la promesse de passer un temps de lecture plaisant lorsqu'il ne nous bouscule pas les neurones ou les idées.
Là où ça change c'est que ce tome est écrit sur le mode comique, ce que je ne connaissais pas de lui. Et il s'en sort plus que bien. J'ai ri du début à la fin en suivant les frasques de ce duo Gobelin/Nain, coincé à l'intérieur du corps du premier pour on ne sait quelles raisons. Et d'ailleurs, les raisons on s'en fout puisque le propos n'est pas là, mais bien dans les situations qu'ils vont vivre.
Là où le comique fonctionne à merveille réside dans la nature des personnages que tout leur oppose.
On suivra donc avec plaisir les boires et déboires de ces deux énergumènes, qui n'ont rien à envier l'un de l'autre, et qui ne valent pas mieux l'un que l'autre, chacun à leur manière.
Dans cette série d'habitude très sombre en générale, c'est un bol d'air rafraîchissant que nous propose Jarry, et contre toute attente, cela fonctionne bien. La scène finale est à tomber, même si on s'y attendait.
Là où ça change c'est que ce tome est écrit sur le mode comique, ce que je ne connaissais pas de lui. Et il s'en sort plus que bien. J'ai ri du début à la fin en suivant les frasques de ce duo Gobelin/Nain, coincé à l'intérieur du corps du premier pour on ne sait quelles raisons. Et d'ailleurs, les raisons on s'en fout puisque le propos n'est pas là, mais bien dans les situations qu'ils vont vivre.
Là où le comique fonctionne à merveille réside dans la nature des personnages que tout leur oppose.
On suivra donc avec plaisir les boires et déboires de ces deux énergumènes, qui n'ont rien à envier l'un de l'autre, et qui ne valent pas mieux l'un que l'autre, chacun à leur manière.
Dans cette série d'habitude très sombre en générale, c'est un bol d'air rafraîchissant que nous propose Jarry, et contre toute attente, cela fonctionne bien. La scène finale est à tomber, même si on s'y attendait.
