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Critique de Nadael


À la naissance de son fils, Oliver Jeffers se met à écrire et à dessiner ardemment pour lui. Plus qu'une envie, un besoin irrépressible d'expliquer à son enfant le monde dans lequel il vient d'arriver. Pour commencer, il lui parle du système solaire du ciel des étoiles des points cardinaux… on perd si vite son chemin dans cette immensité. Puis, il évoque la topographie la géographie le climat de la planète Terre : ses reliefs, ses mers et océans, ses tempêtes et ses nuages, la neige, le soleil, le froid, le chaud… le monde est si beau et si divers. Ensuite, il raconte à son fils l'humanité : du corps humain – machine merveilleuse – aux besoins vitaux en passant par les différences – de peau de forme de culture -. Il n'oublie pas de lui présenter quelques animaux, il y a tant d'espèces qu'une double page ne suffit pas. Enfin, il aborde le temps et l'espace : le jour la nuit, la campagne la ville, la lenteur la vitesse, les nouvelles technologies, la pollution…

Que son enfant comprenne, dans un souci de transmission et d'amour que la Terre est belle et riche. Qu'il entende aussi, écologiquement, sa fragilité. Qu'il soit heureux et fier de vivre ici, parmi 7 milliards d'hommes de femmes et d'enfants, prêts à partager échanger et fraterniser.

Nous sommes là est le message bienveillant tendre et tolérant d'un père à son fils. Un père qui guide, donne des repères et rassure. On n'est pas seul sur Terre dit-il à son fils, il ne faut pas hésiter à poser des questions. Il y aura toujours quelqu'un pour y répondre.
Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..
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