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Critique de CROCBOOKS
Corentin a organisé une lecture commune autour de la suite directe du “Pont des tempêtes”.
J'ai lu le premier tome de la saga de Danielle L. Jensen en même temps que d'autres passionnés de lecture. Je me souviens d'avoir tourné les pages avec empressement. Alors que j'ai eu du mal à me concentrer sur le début de l'intrigue mettant en scène “La reine traîtresse”.
Le graphisme de la couverture de cette histoire d'amour se déroulant dans un univers de fantasy est très orientale. Ce n'est pas ce que préfère le dévoreur de livres mais c'est bien moins important que d'écrire que mon attachement aux personnages est réel.
Certains passages sont beaux à imaginer. Je pense entre autres, à l'évasion d'Aren et à la description de la tempête dans le désert. Lara est la nouvelle héroïne badass à la mode ! Elle frôle la mort de manière répétée sans que ça change son regard sur la vie. Elle cherche à se racheter pour toutes les erreurs qu'elle a commises comme si c'était facile. Dans le cas présent, les hésitations, les questionnements d'Aren sont légitimes.
Le processus d'élaboration de ce monde imaginaire me plaît toujours autant. Comme souvent, ce sont les projets concertés secrètement afin de nuire, qui titillent ma curiosité. Pour une raison que je ne comprends pas, le pont m'a manqué. Cela n'engage que moi mais je trouve que la fin de ce livre n'est pas suffisamment aboutie. On sait que le troisième tome va concerner un autre couple. Espérons que mes doutes s'envoleront à l'approche de “L'héritier insoumis”.
J'ai lu le premier tome de la saga de Danielle L. Jensen en même temps que d'autres passionnés de lecture. Je me souviens d'avoir tourné les pages avec empressement. Alors que j'ai eu du mal à me concentrer sur le début de l'intrigue mettant en scène “La reine traîtresse”.
Le graphisme de la couverture de cette histoire d'amour se déroulant dans un univers de fantasy est très orientale. Ce n'est pas ce que préfère le dévoreur de livres mais c'est bien moins important que d'écrire que mon attachement aux personnages est réel.
Certains passages sont beaux à imaginer. Je pense entre autres, à l'évasion d'Aren et à la description de la tempête dans le désert. Lara est la nouvelle héroïne badass à la mode ! Elle frôle la mort de manière répétée sans que ça change son regard sur la vie. Elle cherche à se racheter pour toutes les erreurs qu'elle a commises comme si c'était facile. Dans le cas présent, les hésitations, les questionnements d'Aren sont légitimes.
Le processus d'élaboration de ce monde imaginaire me plaît toujours autant. Comme souvent, ce sont les projets concertés secrètement afin de nuire, qui titillent ma curiosité. Pour une raison que je ne comprends pas, le pont m'a manqué. Cela n'engage que moi mais je trouve que la fin de ce livre n'est pas suffisamment aboutie. On sait que le troisième tome va concerner un autre couple. Espérons que mes doutes s'envoleront à l'approche de “L'héritier insoumis”.
