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Critique de Wyoming
Très intéressant le cheminement de ce chef d'entreprise, obsédé par son boulot, ses objectifs, qui mobilisent tout son temps, sa secrétaire dont l'apparition m'a paru trop brève, mais... pourtant ce patron, Matthias, qui vit a cent à l'heure, aime la vie, le vin, les femmes (ou croit les aimer), décide en une fraction de seconde, va accepter de se faire désintoxiquer de sa vie trépidante.
Il intègre donc un stage dans le sud-ouest, beau dessin du viaduc de Millau au passage, et ce n'est pas vraiment ce qu'il imaginait. Lui, il lui faut deux téléphones mobiles, internet, facebook, et tout le reste, alors se retrouver seul au milieu des boucs alors qu'il espérait rencontrer des filles, rien ne va plus. Pourtant, il tente le coup...
Le titre de ce premier tome est le déni, parfaitement adapté à la situation de Matthias qui est un bloc d'adrénaline, inconscient des risques auxquels il expose sa vie qu'il aime et qu'il ne voudrait pas changer, mais...
J'ai trouvé, malgré ses nombreux défauts, la personnalité de Matthias très sympathique, il est conscient de ses bévues, notamment avec Adèle, une paumée convertie d'elle-même à l'Islam, il peut être très lourd, mais je sens chez lui une grosse pointe d'humanité et un amour de la vie et des autres que les auteurs ont très bien rendu, tant par le scénario que par la qualité des dessins.
Tome 2 : L'acceptation, logique après le déni. J'ai hâte de le découvrir et de vérifier si mes perceptions de Matthias sont exactes ou non.
Il intègre donc un stage dans le sud-ouest, beau dessin du viaduc de Millau au passage, et ce n'est pas vraiment ce qu'il imaginait. Lui, il lui faut deux téléphones mobiles, internet, facebook, et tout le reste, alors se retrouver seul au milieu des boucs alors qu'il espérait rencontrer des filles, rien ne va plus. Pourtant, il tente le coup...
Le titre de ce premier tome est le déni, parfaitement adapté à la situation de Matthias qui est un bloc d'adrénaline, inconscient des risques auxquels il expose sa vie qu'il aime et qu'il ne voudrait pas changer, mais...
J'ai trouvé, malgré ses nombreux défauts, la personnalité de Matthias très sympathique, il est conscient de ses bévues, notamment avec Adèle, une paumée convertie d'elle-même à l'Islam, il peut être très lourd, mais je sens chez lui une grosse pointe d'humanité et un amour de la vie et des autres que les auteurs ont très bien rendu, tant par le scénario que par la qualité des dessins.
Tome 2 : L'acceptation, logique après le déni. J'ai hâte de le découvrir et de vérifier si mes perceptions de Matthias sont exactes ou non.
