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Critique de LoupAlunettes
Pas de géant à l'horizon pour cette histoire, ni au détour d'un conte coincé sous le bras de Lizzie notre héroïne.
Nous serons avec cette métaphore sur le fait de grandir certe, mais les auteurs aborderont en plus à la fois les petites responsabilités et les petites peurs enfantines, les deux pouvant être liées.
Rappelons-nous qu'il n'est pas aisé pour nos jeunes lecteurs d'aller chercher un jour le pain à la boulangerie comme des grands, peur d'y aller et de demander seul, crainte de ne pas se souvenir et d'en oublier la monnaie.
Bref, une responsabilité.
Mais quelle plaisir le grand saut une fois fait, un vrai grand bain accessible pour les petits.
La situation est déclinée avec "Un petit pas de géant", avec la responsabilité de promener un chien.
Nous avons une petite héroïne contente d'aller au parc avec sa maman, cette dernière salue une connaissance aimable, c'est un vieux monsieur avec un toutou.
La petite se trouvera face au chien plus tard, décontenancée et essoufflée d'avoir bien sautiller partout, d'avoir cavalée dans le parc.
La chique semble lui être coupée à notre petite, qui perd ses moyens devant le petit chien.
C'est delà que le vieux monsieur, avec l'aval implicite de la maman qui n'est pas loin sur un banc, va proposer à notre petite timide de le tenir en laisse tandis qu'il s'installera aux côté de la maman.
Ainsi, notre Lizzie toute choupinette va t-elle maîtriser sa crainte des chiens et se gonfler de fierté à promener avec maîtrise notre canin dans le parc.
Une petite victoire, on le comprend, évidement.
Notre petite Lizzie a encore grandi, elle a fait son petit pas de géant.
C'est bien amené et les auteurs n'oublient de cadrer correctement la situation en intégrant la surveillance parentale pour cette rencontre très tendre.
Les parents lecteurs ne manqueront pas de le souligner en lisant, une autre consigne à intégrer.
Une chouette lecture.
Un petit pas pour Lizzie, un grand pas certainement de franchi selon la maman.
Nous serons avec cette métaphore sur le fait de grandir certe, mais les auteurs aborderont en plus à la fois les petites responsabilités et les petites peurs enfantines, les deux pouvant être liées.
Rappelons-nous qu'il n'est pas aisé pour nos jeunes lecteurs d'aller chercher un jour le pain à la boulangerie comme des grands, peur d'y aller et de demander seul, crainte de ne pas se souvenir et d'en oublier la monnaie.
Bref, une responsabilité.
Mais quelle plaisir le grand saut une fois fait, un vrai grand bain accessible pour les petits.
La situation est déclinée avec "Un petit pas de géant", avec la responsabilité de promener un chien.
Nous avons une petite héroïne contente d'aller au parc avec sa maman, cette dernière salue une connaissance aimable, c'est un vieux monsieur avec un toutou.
La petite se trouvera face au chien plus tard, décontenancée et essoufflée d'avoir bien sautiller partout, d'avoir cavalée dans le parc.
La chique semble lui être coupée à notre petite, qui perd ses moyens devant le petit chien.
C'est delà que le vieux monsieur, avec l'aval implicite de la maman qui n'est pas loin sur un banc, va proposer à notre petite timide de le tenir en laisse tandis qu'il s'installera aux côté de la maman.
Ainsi, notre Lizzie toute choupinette va t-elle maîtriser sa crainte des chiens et se gonfler de fierté à promener avec maîtrise notre canin dans le parc.
Une petite victoire, on le comprend, évidement.
Notre petite Lizzie a encore grandi, elle a fait son petit pas de géant.
C'est bien amené et les auteurs n'oublient de cadrer correctement la situation en intégrant la surveillance parentale pour cette rencontre très tendre.
Les parents lecteurs ne manqueront pas de le souligner en lisant, une autre consigne à intégrer.
Une chouette lecture.
Un petit pas pour Lizzie, un grand pas certainement de franchi selon la maman.
