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Critique de emdicanna
Quatrième de couverture des Editions des Arènes (Les Arènes polar), Paris 2016 :
Un ministre se suicide le soir du premier tour de l'élection présidentielle. Les secrets de famille ne demandent qu'à sortir. Mais pas seulement... les mensonges de la vie politique aussi. Ces circuits d'un monde globalisé où l'on tue, on spécule et on pille avec l'accord des États.
Tout est à nu.
Bientôt les morts s'accumulent. le compte à rebours électoral s'emballe et les services de renseignement sont sur le qui-vive. A Paris, Logos et New-York, les puissants affrontent ce qu'ils détestent le plus : l'incertitude. Leur toile se déchire.
Peut-on ralentir la machine criminelle qui nous gouverne ? Il faut être aveugle, fou, prêt à tout perdre. S'appeler Lira Kazan par exemple.
Un ministre se suicide le soir du premier tour de l'élection présidentielle. Les secrets de famille ne demandent qu'à sortir. Mais pas seulement... les mensonges de la vie politique aussi. Ces circuits d'un monde globalisé où l'on tue, on spécule et on pille avec l'accord des États.
Tout est à nu.
Bientôt les morts s'accumulent. le compte à rebours électoral s'emballe et les services de renseignement sont sur le qui-vive. A Paris, Logos et New-York, les puissants affrontent ce qu'ils détestent le plus : l'incertitude. Leur toile se déchire.
Peut-on ralentir la machine criminelle qui nous gouverne ? Il faut être aveugle, fou, prêt à tout perdre. S'appeler Lira Kazan par exemple.
