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Critique de lyanea
Un roman qui mélange les genres pour mieux nous séduire…
J'ai connu avec Olivia Jones la nouvelle, ensuite le roman avec le titre « Quand le vent se tait » et puis voici « La fille du vent » avec un magnifique visuel de couverture que l'on doit à Graph'Arts.
Nous sommes en 1563, année durant laquelle la très belle Enguerrande meurt brûlée vive devant Guenièvre, jeune fille très pieuse qui lancera une malédiction sur la ville de Sainte-Marie-Des-Océans. Des siècles plus tard, dans cette même ville, Joseph pleure la disparition inexpliquée de sa femme et de son fils, quarante ans plus tôt. Quand Madina vient s'installer avec sa famille et devient sa voisine, il lui semble que sa fin de vie s'éclaire. Mais quels secrets cache-t-elle ? Quels liens entre passé et présent ?
Si le premier chapitre m'accroche d'emblée et me plonge dans un méli-mélo d'amour charnel, de haine féroce, de violence féminine, de cruauté vengeresse, la suite m'entraîne dans une jolie histoire familiale avec des parents qui s'aiment, des enfants heureux et un vieil homme qui retrouve goût à la vie. Tout au long de ce roman particulier dans lequel le mystique, l'historique, le fantastique, le sacré, font bon ménage, j'irai de cauchemar en rêve exalté, de violence sexuelle en accord charnel, de souvenirs angoissants en futurs pacifiés.
Olivia Jones a le talent de mêler avec brio plusieurs vies pour donner un mystère qui plane régulièrement au-dessus de ses romans. Ici, la part de fantastique n'est que voile oppressant pour rendre encore plus mystérieuse une affaire de disparitions qui pourraient être liées à une malédiction. Avouez qu'il était facile d'aiguiser ma curiosité.
Les scènes de la vie des siècles derniers sont rudes et violentes, elles sont en parfaite opposition avec la vie quasi parfaite d'une famille aimante d'aujourd'hui. Et ce n'est pas Joseph, personnage principal plein de dignité qui déparera cette histoire aussi étrange qu'intéressante à croire.
Avec des chapitres qui alternent le passé et le présent, notre attention est maintenue pour se transformer en suspense et envie de comprendre ce qui a pu réellement se passer. L'écriture est fluide, les sources historiques vérifiés, l'irréel habilement intégré ; c'est donc d'un roman à découvrir avec bonheur que je vous parle.
Je remercie Olivia pour sa générosité, et sa confiance régulièrement renouvelée.
Lien : https://www.facebook.com/Les..
J'ai connu avec Olivia Jones la nouvelle, ensuite le roman avec le titre « Quand le vent se tait » et puis voici « La fille du vent » avec un magnifique visuel de couverture que l'on doit à Graph'Arts.
Nous sommes en 1563, année durant laquelle la très belle Enguerrande meurt brûlée vive devant Guenièvre, jeune fille très pieuse qui lancera une malédiction sur la ville de Sainte-Marie-Des-Océans. Des siècles plus tard, dans cette même ville, Joseph pleure la disparition inexpliquée de sa femme et de son fils, quarante ans plus tôt. Quand Madina vient s'installer avec sa famille et devient sa voisine, il lui semble que sa fin de vie s'éclaire. Mais quels secrets cache-t-elle ? Quels liens entre passé et présent ?
Si le premier chapitre m'accroche d'emblée et me plonge dans un méli-mélo d'amour charnel, de haine féroce, de violence féminine, de cruauté vengeresse, la suite m'entraîne dans une jolie histoire familiale avec des parents qui s'aiment, des enfants heureux et un vieil homme qui retrouve goût à la vie. Tout au long de ce roman particulier dans lequel le mystique, l'historique, le fantastique, le sacré, font bon ménage, j'irai de cauchemar en rêve exalté, de violence sexuelle en accord charnel, de souvenirs angoissants en futurs pacifiés.
Olivia Jones a le talent de mêler avec brio plusieurs vies pour donner un mystère qui plane régulièrement au-dessus de ses romans. Ici, la part de fantastique n'est que voile oppressant pour rendre encore plus mystérieuse une affaire de disparitions qui pourraient être liées à une malédiction. Avouez qu'il était facile d'aiguiser ma curiosité.
Les scènes de la vie des siècles derniers sont rudes et violentes, elles sont en parfaite opposition avec la vie quasi parfaite d'une famille aimante d'aujourd'hui. Et ce n'est pas Joseph, personnage principal plein de dignité qui déparera cette histoire aussi étrange qu'intéressante à croire.
Avec des chapitres qui alternent le passé et le présent, notre attention est maintenue pour se transformer en suspense et envie de comprendre ce qui a pu réellement se passer. L'écriture est fluide, les sources historiques vérifiés, l'irréel habilement intégré ; c'est donc d'un roman à découvrir avec bonheur que je vous parle.
Je remercie Olivia pour sa générosité, et sa confiance régulièrement renouvelée.
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