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Critique de Lprieur
On se sent bousculé à la lecture de L'Histoire de l'hiver qui ne voulait jamais finir.
Par la mise en page tout d'abord - les titres n'en sont pas tout à fait, ou pas uniquement tout du moins.
Par la narration également : les chapitres sont presque des vignettes ; certains pourraient trouver que cela manque de liant. J'ai bien aimé, pour ma part.
Par les règles de cet univers ensuite, qui ne suivent pas les nôtres.
Par les personnages, enfin, avec celui de Février - avatar de l'écrivain, qui se mêle à ses propres créations...?
J'ai apprécié les dessins qui ont une certaine unité autour de la couleur jaune, qui contrebalance ou complète la noirceur du récit. le livre est en lui-même un très bel objet. Ce n'est pas un coup de coeur, mais je dirais que l'ensemble est très intrigant.
En revanche, l'éditeur n'est pas des plus performant en ce qui concerne la rigueur de l'expression...
"Les enfants se jettaient dans des tas de feuilles marrons comme du velours côtelé" ; "Ils m'ont embrassé" ("m'" étant Bianca) ; "Elle péchait des tortues"... Des erreurs qui blessent la rétine !
Par la mise en page tout d'abord - les titres n'en sont pas tout à fait, ou pas uniquement tout du moins.
Par la narration également : les chapitres sont presque des vignettes ; certains pourraient trouver que cela manque de liant. J'ai bien aimé, pour ma part.
Par les règles de cet univers ensuite, qui ne suivent pas les nôtres.
Par les personnages, enfin, avec celui de Février - avatar de l'écrivain, qui se mêle à ses propres créations...?
J'ai apprécié les dessins qui ont une certaine unité autour de la couleur jaune, qui contrebalance ou complète la noirceur du récit. le livre est en lui-même un très bel objet. Ce n'est pas un coup de coeur, mais je dirais que l'ensemble est très intrigant.
En revanche, l'éditeur n'est pas des plus performant en ce qui concerne la rigueur de l'expression...
"Les enfants se jettaient dans des tas de feuilles marrons comme du velours côtelé" ; "Ils m'ont embrassé" ("m'" étant Bianca) ; "Elle péchait des tortues"... Des erreurs qui blessent la rétine !
