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Critique de _BNFA


Un matin, sur le chemin de l'école, Ludivine rencontre un beau chien vert, qui répond au salut qu'elle lui adresse. Un chien qui parle ? Voilà qui ne semble étonner ni Ludivine ni le chien lui-même. le chien se confie à la petite fille : il n'a ni nom ni maître ni maison, dort dans les buissons et se nourrit comme il peut. le reste du temps, il s'ennuie et ne fait que bailler. Son plus grand rêve serait d'apprendre à lire, à écrire, à compter. Ludivine lui propose donc de l'accompagner à l'école, à condition qu'il reste caché pour qu'on ne le découvre pas.

Mais la maîtresse remarque rapidement sa présence et ne peut s'empêcher de s'étonner de la présence d'un animal en classe. Constatant qu'il sait parler et qu'il a une grande soif de connaissances, elle l'autorise à assister aux cours et lui donne un nom : le chien s'appellera désormais Homère, comme le poète grec qui a raconté les aventures d'Ulysse. A la fin de la journée, la maîtresse félicite Homère pour son attitude et Ludivine décide d'emmener Homère chez elle. Comment vont réagir les parents de Ludivine ? Quel secret cache Homère pour savoir si bien parler et avoir des manières si distinguées ?

Jean Joubert est poète, romancier et auteur pour la jeunesse. L'écologie, le rêve et la poésie sont omniprésents dans ses textes. Avec « le chien qui savait lire », il s'adresse autant aux amis des animaux, qui aimeront tout de suite ce gentil chien, qu'aux rêveurs, qui sauront apprécier la part de magie de l'histoire.
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