Si cette peinture sociale signée
David Joy est noire, voire naturaliste, les personnages n'y sont qu'esquissés, silhouettes qui dansent un ballet macabre, les flammes dévorant les Appalaches en arrière-plan. L'enquête policière prend la place qu'auraient pu occuper les émotions, l'humain. Les personnages sont décharnés, substances presque vides de vie, dénuées d'intériorité – et les veines en feu, chargées d'héroïne, celle-ci étant la véritable protagoniste de ce livre (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2022/02/13/
nos-vies-en-flammes-david-joy/)
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https://pamolico.wordpress.c.. Commenter  J’apprécie         310