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Critique de claraetlesmots


Harold Fry sexagénaire à la retraite depuis peu reçoit une lettre d'une ancienne collègue de travail Queenie Hennessy. Alors qu'ils ne sont pas vus depuis vingt ans, elle lui annonce qu'elle souffre d'un cancer en phase terminale et qu'elle est hospitalisée en soin palliatifs. Harold lui écrit en retour mais sans donner aucune explication à son épouse Maureen, il décide d'aller donner sa lettre à Queenie en main propre. le voilà parti dans une marche de plus de huit cent kilomètres sur les routes d'Angleterre.

En se mettant en chemin, Harold pense à Queenie. Ils n'étaient pas proches et il se demande pourquoi elle lui écrit. Harold se fait la promesse que Queenie doit vivre. Cette marche revêt un cheminement intérieur pour Harold et Maureen également. Harold et Maureen sont devenus des étrangers l'un pour l'autre et contrairement à sa femme, Harold n'a plus de contact avec son fils David. Ce parcours le mène à revisiter sa vie : souvenirs de l'époque où il travaillait, les moments de bonheur mais surtout la solitude et la souffrance. Au fil de son parcours, Harold rencontre différentes personnes à qui il raconte son but, il trouve une hospitalité, un toit pour dormir. Au fil des jours, certains veulent se joindre à sa marche. Pour Harold, tout ce qui compte est d'arriver à destination. de leur domicile, Maureen suit son parcours, leur couple semble se ressouder alors qu'ils sont éloignés physiquement. Ces mois de marche permettent à Harold d'effectuer une introspection, de se délester de certains poids et de changer.

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