AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Fandol


L'action monte, l'action s'enflamme et le suspense augmente dans ce tome 12 de l'aventure du Blue Lock.
Cette fois-ci, le compte à rebours est lancé : dans trois semaines, le onze du Blue Lock affrontera les moins de 20 ans du Japon, équipe menée par Sae Itoshi.
Jinpachi Ego, le superviseur en chef du Blue Lock, ne prend pas de gants. le challenge est sans autre issue que la victoire. Il faudra gagner ou disparaître !
Commence alors une organisation bien compliquée après l'annonce des six premiers joueurs sélectionnés, plus un septième…. Trois équipes de deux joueurs sont formées et les autres doivent choisir leur formation : A, B ou C.
C'est le moment de faire une pause bienvenue. Elle permet de voir ces jeunes au réfectoire et même au lavage des dents, le soir, avec des discussions animées à propos du choix que chacun devra effectuer.
Dans les matchs qui suivront, les coéquipiers seront en fait rivaux puisqu'il faudra arriver à former une vraie équipe de onze joueurs, au final.
Isagi Yoichi reste le joueur suivi depuis le début de l'aventure. Sans avoir les qualités extraordinaires de certains, il réussit à s'affirmer. Surtout, il n'est ni arrogant, ni prétentieux comme d'autres qui sont vraiment puants.
Les matchs à trois contre trois commencent avec toujours ce gardien créé de toutes pièces, le Blue Lock man. Dans l'équipe finale de onze, ce sera quand même un humain qui gardera les buts. Pour l'instant, il s'agit, pour ceux qui ne font pas partie de la première liste, de surpasser le top 6.
Le premier match de ce tome 12 oppose Nijirô Nanase, Yô Hiori et Isagi Yoichi (équipe A) à Kyôhei Shiguma, Kairu Saramadara et Hyôma Chigiri (équipe B).
Voilà, c'est lancé. L'équipe qui réussit la première à marquer cinq buts a gagné. Comme dans les précédents volumes, la lutte est intense, bien traduite par un dessin endiablé, des pages d'un rythme fou. Les dialogues ne sont pas négligés, loin de là.
Ça discute, ça chambre, ça provoque mais surtout ça réfléchit pour tenter de surprendre l'adversaire, pour le déstabiliser, pour se défaire d'un marquage trop serré. Surtout, il faut arriver à jouer instinctivement.
Le niveau est trop relevé pour se permettre la phase de réflexion après observation et avant l'action. Tout cela, Muneyuki Kaneshiro, pour le scénario, et Yusuke Nomura, pour le dessin, le réussissent une nouvelle fois très bien.
Merci Albin !

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
Commenter  J’apprécie          730



Ont apprécié cette critique (73)voir plus




{* *}