J'ai raté la lecture de
Venise à double tour avant d'aller visiter Venise, et j'ai très bien fait. Car je ne retrouve pas du tout la Venise que j'ai vue dans ce roman, et j'ai décroché : le style est alambiqué, voire artificiel, le caractère trop "autobio" genre psychanalytique. L'obsession des églises et des endroits clos m'a rapidement submergé d'ennui, si bien que j'ai lu le reste en diagonale. J'ai eu de la peine à achever ce bouquin, que j'ai un peu relu après avoir visité cette ville qui agite l'imaginaire. Mais je n'y ai pas retrouvé la poésie de ce que j'ai vu, dommage. Quelques bons passages ci et là, mais cela ne sauve pas le livre.
Commenter  J’apprécie         10