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Critique de Morphil
Resurgit d'un passé pas si loin, l'odeur du pain qui s'exhalait à travers les soupiraux, la senteur des croissants chauds, l'image du boulanger en marcel, qui, ayant sortie sa dernière fournée, s'asseyait sur les marches de la boutique pour y fumer une gauloise ou une maïs. Entre 5 et six heures du matin, bras nus, même l'hiver avant d'aller dormir quelques heures.
Resurgit de ma mémoire, ce gout inimitable de la baguette fraiche et croustillante généreusement tartinée de beurre demi-sel.
Même si on est revenu à un pain de meilleur qualité, je n'ai jamais retrouvé ces sensations... le pain au levain un peu suret avec un beurre un peu rance (Oui oui !).
Vous verrez, ce n'est pas compliqué de faire un levain, de l'élever et de la garder en vie.
La cuisine raconte de bien belles histoires.
Resurgit de ma mémoire, ce gout inimitable de la baguette fraiche et croustillante généreusement tartinée de beurre demi-sel.
Même si on est revenu à un pain de meilleur qualité, je n'ai jamais retrouvé ces sensations... le pain au levain un peu suret avec un beurre un peu rance (Oui oui !).
Vous verrez, ce n'est pas compliqué de faire un levain, de l'élever et de la garder en vie.
La cuisine raconte de bien belles histoires.
