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Critique de florencem
J'ai commencé la série Haru Hana pour deux choses. La première pour son graphisme que je trouvais, et trouve toujours, très doux, fluide et adorable. Les dessins de Yuana Kazumi ne m'étaient d'ailleurs pas inconnus car j'en avais découvert plusieurs sur la toile et j'avais alors tout de suite adoré son style onirique aux couleurs très douces et pastels. La seconde raison était que la série ne comptait que trois tomes. Pour certaines séries, j'avoue que cela ne me préoccupe pas d'habitude (Bleach avec ses plus de quarante tomes maintenant, One piece, Naruto... et j'en passe), mais j'aime aussi bien les séries courtes. Elles permettent de découvrir des mangaka sur une courte durée, sans s'engluer dans soixante tomes.
Pour Haru Hana, trois tomes étaient largement suffisant, le synopsis ne laissant pas vraiment de suspens et étant un shojo que je qualifierais de "mignon" et pas de dramatique, il n'avait pas besoin d'une dizaine de tomes. Ce n'est d'ailleurs pas une critique négative, j'entends bien. Je trouve même très bien de choisir de faire une série courte si cela est bénéfique à l'oeuvre et de ne pas l'allonger juste pour des raisons pécuniaires qui desservent pour le coup l'oeuvre. Haru Hana nous montre donc le quotidien de Haru et Hana (oui, le titre est très original !), deux adolescents que tout oppose mais qui finissent par devoir travailler ensemble. Entre chamailleries et moments de tendresse, on les découvre donc tous les deux, et il n'est pas difficile de les trouver attachants. Hana est plutôt timide, drôle et un peu perdue. Haru est plus taciturne, secret et maladroit. Les deux personnalités sont souvent en conflit bien entendu, mais on sent tout de suite que d'autres sentiments vont entrer en jeu. Et lorsque l'on ferme le tome, on ne peut s'empêcher de sourire.
Un tome drôle, adorable et attendrissant qui met du baume au coeur, et dont je suis très heureuse de poursuivre l'aventure.
Pour Haru Hana, trois tomes étaient largement suffisant, le synopsis ne laissant pas vraiment de suspens et étant un shojo que je qualifierais de "mignon" et pas de dramatique, il n'avait pas besoin d'une dizaine de tomes. Ce n'est d'ailleurs pas une critique négative, j'entends bien. Je trouve même très bien de choisir de faire une série courte si cela est bénéfique à l'oeuvre et de ne pas l'allonger juste pour des raisons pécuniaires qui desservent pour le coup l'oeuvre. Haru Hana nous montre donc le quotidien de Haru et Hana (oui, le titre est très original !), deux adolescents que tout oppose mais qui finissent par devoir travailler ensemble. Entre chamailleries et moments de tendresse, on les découvre donc tous les deux, et il n'est pas difficile de les trouver attachants. Hana est plutôt timide, drôle et un peu perdue. Haru est plus taciturne, secret et maladroit. Les deux personnalités sont souvent en conflit bien entendu, mais on sent tout de suite que d'autres sentiments vont entrer en jeu. Et lorsque l'on ferme le tome, on ne peut s'empêcher de sourire.
Un tome drôle, adorable et attendrissant qui met du baume au coeur, et dont je suis très heureuse de poursuivre l'aventure.
