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Critique de rickiss
Un roman de bonne facture, honnête et classique, qui se défend bien. Sans être foncièrement novateur (rappelons qu'il a été écrit dans les années 80, ça commence donc à dater un peu), ce roman met en place une intrigue intéressante, bien que sans réelle surprise (les personnages sont un peu caricaturaux par moments, ce qui fait vite repérer les "méchants") et met surtout en scène un enquêteur attachant : Alex Delaware. Un psy qui fait justice, forcément, ça ne pouvait que me tenter !
Ce premier roman nous présente ce jeune psy retraité mais toujours avide de faire le bien autour de lui, en le creusant assez pour ne pas nous en faire un héros trop lisse (et donc trop fade), mais reste encore un tout petit peu trop manichéen dans le traitement de son héros et des "méchants" pour qu'on soit dans une littérature de très bon niveau.
Toutefois, on s'attache sans trop de difficulté à ce personnage principal, ainsi qu'à son acolyte, Milo, flic homo et surtout drôle.
Un bon tandem qui sert une histoire assez sympathique à lire : sans me donner envie d'investir pour acheter tous les romans qui suivent ce premier tome, je sors de cette lecture assez conquise pour projeter d'aller à la bibliothèque emprunter d'autres de leurs aventures. Bravo, M. Jonathan Kellerman, c'est un bon point pour vous !
Ce premier roman nous présente ce jeune psy retraité mais toujours avide de faire le bien autour de lui, en le creusant assez pour ne pas nous en faire un héros trop lisse (et donc trop fade), mais reste encore un tout petit peu trop manichéen dans le traitement de son héros et des "méchants" pour qu'on soit dans une littérature de très bon niveau.
Toutefois, on s'attache sans trop de difficulté à ce personnage principal, ainsi qu'à son acolyte, Milo, flic homo et surtout drôle.
Un bon tandem qui sert une histoire assez sympathique à lire : sans me donner envie d'investir pour acheter tous les romans qui suivent ce premier tome, je sors de cette lecture assez conquise pour projeter d'aller à la bibliothèque emprunter d'autres de leurs aventures. Bravo, M. Jonathan Kellerman, c'est un bon point pour vous !
