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Critique de izabulle
Depuis que Connor s'est allié à Reese la chef de Foxworth, Rylan ne cesse d'être trop proche de celle qui l'attire irrémédiablement. Et puis, la raison est toute trouvée pour passer plus de temps dans cette cité, où il se sent clairement à sa place. Sa parade de séduction envers Reese s'intensifie, à la limite du harcèlement sexuel. Il se rend vite compte que Sloan, le confident et bras droit de Reese, est beaucoup trop proche de la belle. Toutefois, son comportement est ambigu et Sloan pourrait peut-être se révéler comme la clé lui permettant d'accéder au corps de Reese.
Nous voici enfin dans le tome final, nous dévoilant le dénouement de cette saga très atypique et intense. Alors que la première partie du livre commence doucement et est principalement axée sur le rapprochement entre Rylan et Reese, nous sommes toutefois en présence d'un tome agréablement bien rythmé.
Elle Kennedy nous offre encore un trio sexuel très débridé, qui peut paraître au départ un peu redondant avec les couples des autres tomes. Et puis, un virage très intense est pris dans le roman, notamment au cours de l'accouchement de Bethany, qui met à mal émotionnellement notre trio, mais pour mieux les souder par la suite.
Alors que les premières scènes sexuelles sont brutes et purement physiques, nous voyons Reese, Sloan et Rylan changer et évoluer vers quelque chose de plus sentimental. C'est beau, touchant et je crois que c'est bien la première fois que je suis convaincue par la crédibilité d'une relation amoureuse à trois. le fait que Reese soit l'unique femme au coeur de cette relation, aide à se projeter. D'autant plus qu'elle ne semble pas tirer un profit individuel de cette relation, où finalement ses deux hommes développent également un attirance homosexuelle l'un pour l'autre.
De manière générale, cette saga m'aura fait regretter un manque de profondeur et de détail sur le versant dystopique. L'écriture à la troisième personne était également par moments un peu brouillonne, notamment lorsque nous avions trois points de vue, comme ce fut le cas dans ce troisième tome.
Avec une plume et un pan humoristique légèrement en dessous de ce que l'auteur nous avait offert avec sa série "Off-campus", les insurgés sont pour autant tous très chauds bouillants et chaque tome se dévore avec une facilité déconcertante.
Lien : http://evenusia.canalblog.co..
Nous voici enfin dans le tome final, nous dévoilant le dénouement de cette saga très atypique et intense. Alors que la première partie du livre commence doucement et est principalement axée sur le rapprochement entre Rylan et Reese, nous sommes toutefois en présence d'un tome agréablement bien rythmé.
Elle Kennedy nous offre encore un trio sexuel très débridé, qui peut paraître au départ un peu redondant avec les couples des autres tomes. Et puis, un virage très intense est pris dans le roman, notamment au cours de l'accouchement de Bethany, qui met à mal émotionnellement notre trio, mais pour mieux les souder par la suite.
Alors que les premières scènes sexuelles sont brutes et purement physiques, nous voyons Reese, Sloan et Rylan changer et évoluer vers quelque chose de plus sentimental. C'est beau, touchant et je crois que c'est bien la première fois que je suis convaincue par la crédibilité d'une relation amoureuse à trois. le fait que Reese soit l'unique femme au coeur de cette relation, aide à se projeter. D'autant plus qu'elle ne semble pas tirer un profit individuel de cette relation, où finalement ses deux hommes développent également un attirance homosexuelle l'un pour l'autre.
De manière générale, cette saga m'aura fait regretter un manque de profondeur et de détail sur le versant dystopique. L'écriture à la troisième personne était également par moments un peu brouillonne, notamment lorsque nous avions trois points de vue, comme ce fut le cas dans ce troisième tome.
Avec une plume et un pan humoristique légèrement en dessous de ce que l'auteur nous avait offert avec sa série "Off-campus", les insurgés sont pour autant tous très chauds bouillants et chaque tome se dévore avec une facilité déconcertante.
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