Troisième lecture de Margaret Kennedy et je suis toujours aussi fan. La mise en route a été un peu plus longue dans ce roman mais j'y ai retrouvé avec plaisir l'humour et la satire sociale, marque de fabrique de cette autrice. Ici c'est le monde de l'art et la vie villageoise qui sont épinglés, avec beaucoup de finesse. Ou comment une chaise devient l'oeuvre ultime d'un artiste disparu 😂
C'est raconté avec beaucoup de mordant et révélateur d'une époque.
Je ne m'en lasse pas !
A quand la prochaine traduction ?
Commenter  J’apprécie         270