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Critique de Zoulou
Une rencontre à la base très mal partie. le premier tiers est vraiment long et peu intéressant. L'auteure nous montre à quel point Titus Quinn est un pauvre gars qui a tout perdu et qui va encore se faire exploiter par une affreuse société sans âme et sans scrupule, prête à tout pour se faire de l'argent. On est assailli de considérations peu intéressantes sur son martyr, sur la méchanceté des méchants, et sur les détails techniques du retour de Quinn dans le monde qu'il a quitté des années auparavant, et dans lequel il a perdu sa femme et sa fille.
En revanche, j'ai eu raison de m'acharner. Les deux tiers suivants m'ont passionnée. La découverte de l'Entier, le fameux monde parallèle, a été réellement plaisante et source d'émerveillement. L'auteur fait preuve d'une imagination fertile, tant dans les différentes espèces qu'elle invente que dans les personnages qu'elle crée, auxquels je me suis attachée sans difficulté. Outre Titus Quinn, le lecteur fait également connaissance avec Anzi, une jeune femme intrépide qui décide de l'aider. Les Hirrins, ainsi que Cho, l'intendant, m'ont également beaucoup plu. Les tarigs, malgré leur côté négatif, sont réellement fascinants. Et, surtout, les passages où l'on entrevoit le quotidien de Sydney, la fille de Titus, et la harde des Inyx, sortes de chevaux à cornes dont les cavaliers sont aveugles, sont sans doute ceux qui m'ont le plus marquée. Les machines / êtres-vivants sont bien pensés et servent réellement les intérêt du roman.
Bref. Je ne m'attendais pas du tout à apprécier autant. Attention aux éventuels lecteurs : la traduction de la suite n'est pour l'instant pas prévue, faute de lecteurs. Cela dit, vu comme j'ai apprécié, c'est avec plaisir que j'envisage de lire la suite en VO :)
En revanche, j'ai eu raison de m'acharner. Les deux tiers suivants m'ont passionnée. La découverte de l'Entier, le fameux monde parallèle, a été réellement plaisante et source d'émerveillement. L'auteur fait preuve d'une imagination fertile, tant dans les différentes espèces qu'elle invente que dans les personnages qu'elle crée, auxquels je me suis attachée sans difficulté. Outre Titus Quinn, le lecteur fait également connaissance avec Anzi, une jeune femme intrépide qui décide de l'aider. Les Hirrins, ainsi que Cho, l'intendant, m'ont également beaucoup plu. Les tarigs, malgré leur côté négatif, sont réellement fascinants. Et, surtout, les passages où l'on entrevoit le quotidien de Sydney, la fille de Titus, et la harde des Inyx, sortes de chevaux à cornes dont les cavaliers sont aveugles, sont sans doute ceux qui m'ont le plus marquée. Les machines / êtres-vivants sont bien pensés et servent réellement les intérêt du roman.
Bref. Je ne m'attendais pas du tout à apprécier autant. Attention aux éventuels lecteurs : la traduction de la suite n'est pour l'instant pas prévue, faute de lecteurs. Cela dit, vu comme j'ai apprécié, c'est avec plaisir que j'envisage de lire la suite en VO :)
