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Critique de belette2911
Ce troisième tome commence avec la suite des aventures des fuiards après que "Le Faucon du Temple" leur ait fait le coup du Titanic, l'iceberg en moins. Nos survivants se retrouvent en terre ennemie et après une bataille, le Maître explique à son disciple le secret des Templiers.
Oui, il dit tout à son disciple, mais toi, lecteur, tu n'en sauras rien pour le moment ! Retour à notre époque (post 2001), nous n'en saurons pas plus pour le moment, le suspense doit être gardé. Nous saurons juste qu'il tient peu de place et qu'on pourrait le mettre dans le sac d'une femme (mais on peut mettre des tas de choses dans nos sacs à mains, messieurs !).
Dans le tome 3, ça bouge tellement vite qu'on a l'impression que tout va se résoudre tout de suite, puisque Tess arrive à résoudre (quel coup de bol) l'énigme du village de Fonsalis alors que le Vatican, le FBI et la CIA planchent toujours dessus.
Si ce tome était un film, nous serions dans la partie où les acteurs transpireraient le plus vu le nombre d'actions qui se déroule en si peu de pages.
Le lecteur ne sait plus où donner de la tête et à l'horrible impression qu'un mystère tombe un peu trop vite et un peu trop facilement. Je déteste que l'on fasse traîner les choses en longueur juste pour le plaisir de faire des pages, mais là, c'est trop rapide.
Une fois de plus, les visages des personnages sont figés cette adaptation bédé et ils me semblent aussi trop léger, fort peu creusés (ma mémoire est incapable de dire si dans le roman c'était ainsi, dans mes souvenirs, j'avais apprécié cette lecture, mais c'était à un autre temps, celui où j'étais moins exigeante), limite stéréotypes, notamment en ce qui concerne les méchants qui ont vraiment la gueule de l'emploi.
Le seul passage intéressant, c'est la joute verbale entre l'agent Reilly, le croyant et Vogel, le non-croyant, chacun opposant son point de vue à l'autre pour tenter d'avoir raison, d'expliquer pourquoi le point de vue de l'autre est faux, sans vraiment comprendre que dans cette histoire, personne n'a raison, personne n'a tort et que tout n'est pas blanc ou noir, mais tout en nuance de gris.
Sans même se rendre compte qu'entre le croyant et le non-croyant, il n'y a pas de différence puisque le schéma de pensées est le même et qu'aucune preuve ne fera changer l'autre d'avis. Pour un vrai croyant, les preuves sont inutiles, il croit. Pour un non-croyant, aucune preuve ne sera jamais assez puissante pour le faire changer d'avis.
Bon, rien d'exceptionnel dans ce troisième tome, sauf de l'action, beaucoup d'action et quelques révélations qui ne sont que des hypothèses que les personnages émettent et qui pourraient ne pas être justes.
À lire pour le moment de détente qu'il procure... Ne rien demander de plus.
Oui, il dit tout à son disciple, mais toi, lecteur, tu n'en sauras rien pour le moment ! Retour à notre époque (post 2001), nous n'en saurons pas plus pour le moment, le suspense doit être gardé. Nous saurons juste qu'il tient peu de place et qu'on pourrait le mettre dans le sac d'une femme (mais on peut mettre des tas de choses dans nos sacs à mains, messieurs !).
Dans le tome 3, ça bouge tellement vite qu'on a l'impression que tout va se résoudre tout de suite, puisque Tess arrive à résoudre (quel coup de bol) l'énigme du village de Fonsalis alors que le Vatican, le FBI et la CIA planchent toujours dessus.
Si ce tome était un film, nous serions dans la partie où les acteurs transpireraient le plus vu le nombre d'actions qui se déroule en si peu de pages.
Le lecteur ne sait plus où donner de la tête et à l'horrible impression qu'un mystère tombe un peu trop vite et un peu trop facilement. Je déteste que l'on fasse traîner les choses en longueur juste pour le plaisir de faire des pages, mais là, c'est trop rapide.
Une fois de plus, les visages des personnages sont figés cette adaptation bédé et ils me semblent aussi trop léger, fort peu creusés (ma mémoire est incapable de dire si dans le roman c'était ainsi, dans mes souvenirs, j'avais apprécié cette lecture, mais c'était à un autre temps, celui où j'étais moins exigeante), limite stéréotypes, notamment en ce qui concerne les méchants qui ont vraiment la gueule de l'emploi.
Le seul passage intéressant, c'est la joute verbale entre l'agent Reilly, le croyant et Vogel, le non-croyant, chacun opposant son point de vue à l'autre pour tenter d'avoir raison, d'expliquer pourquoi le point de vue de l'autre est faux, sans vraiment comprendre que dans cette histoire, personne n'a raison, personne n'a tort et que tout n'est pas blanc ou noir, mais tout en nuance de gris.
Sans même se rendre compte qu'entre le croyant et le non-croyant, il n'y a pas de différence puisque le schéma de pensées est le même et qu'aucune preuve ne fera changer l'autre d'avis. Pour un vrai croyant, les preuves sont inutiles, il croit. Pour un non-croyant, aucune preuve ne sera jamais assez puissante pour le faire changer d'avis.
Bon, rien d'exceptionnel dans ce troisième tome, sauf de l'action, beaucoup d'action et quelques révélations qui ne sont que des hypothèses que les personnages émettent et qui pourraient ne pas être justes.
À lire pour le moment de détente qu'il procure... Ne rien demander de plus.
