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Critique de Gwen21
Les détracteurs des licences Disney (notamment), ennemis jurés du Masse Market, prétendent préserver nos têtes blondes de l'abêtissement de la consommation populaire au nom de... la diversité en prohibant tout livre, simple ou d'éveil, estampillé du fameux château de la Belle au Bois Dormant.
Je ne suis pas d'accord.
Tout simplement parce que la diversité comprend intrinsèquement les albums et les livres mettant en scène des personnages qui font partie intégrale de notre culture occidentale (personne ne crachait d'ailleurs sur Disney avant que les produits dérivés fassent leur apparition, on criait même au génie avec raison et je me souviens, enfant, avoir attendu avec impatience les séances de cinéma pour découvrir en famille les magnifiques aventures de Mickey et ses amis).
C'est pourquoi, sans que cette littérature soit à l'exclusion d'autres genres (alors que revoilà la diversité), je n'hésite jamais à offrir à un enfant un livre "licence" tel que celui-ci, la Maison de Mickey, car ce sont des livres de belle qualité : couverture épaisse qui tient bien dans les menottes et pelliculée qui résiste à toutes les salissures, carton résistant pour parer aux chutes sans abîmer le livre et surtout, trois courtes histoires (dont la lecture de chacune correspond exactement au temps d'attention de la plupart des bambins). Alors pourquoi refuser aux enfants le bonheur incomparable de retrouver dans les livres leurs héros préférés de l'univers Disney ?
Personnellement, je pense que si l'enfant doit être une victime du marketing, autant ne pas lui interdire ce qui deviendrait encore plus attrayant et ferait naître des frustrations (rapport aux petits copains) ! Veillons donc à la diversité mais en la construisant sur un socle ludique solide.
Je ne suis pas d'accord.
Tout simplement parce que la diversité comprend intrinsèquement les albums et les livres mettant en scène des personnages qui font partie intégrale de notre culture occidentale (personne ne crachait d'ailleurs sur Disney avant que les produits dérivés fassent leur apparition, on criait même au génie avec raison et je me souviens, enfant, avoir attendu avec impatience les séances de cinéma pour découvrir en famille les magnifiques aventures de Mickey et ses amis).
C'est pourquoi, sans que cette littérature soit à l'exclusion d'autres genres (alors que revoilà la diversité), je n'hésite jamais à offrir à un enfant un livre "licence" tel que celui-ci, la Maison de Mickey, car ce sont des livres de belle qualité : couverture épaisse qui tient bien dans les menottes et pelliculée qui résiste à toutes les salissures, carton résistant pour parer aux chutes sans abîmer le livre et surtout, trois courtes histoires (dont la lecture de chacune correspond exactement au temps d'attention de la plupart des bambins). Alors pourquoi refuser aux enfants le bonheur incomparable de retrouver dans les livres leurs héros préférés de l'univers Disney ?
Personnellement, je pense que si l'enfant doit être une victime du marketing, autant ne pas lui interdire ce qui deviendrait encore plus attrayant et ferait naître des frustrations (rapport aux petits copains) ! Veillons donc à la diversité mais en la construisant sur un socle ludique solide.
