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Critique de Sycorax
Contrairement au précédent "Sleeping beauties", je suis parvenu jusqu'au terme de cette lecture qui s'est révélée moins pénible, mais je n'ai globalement pas été emballé.
Comme beaucoup de chroniqueurs le précisent sur Babelio, la première partie est la plus entraînante, je suis d'accord avec ça. C'est lorsque surgit le surnaturel, que le récit entre dans un mode "ron-ron" qui m'a ennuyé (de là à dire que S. King devrait se cantonner au récit policier, il n'y a qu'un pas...).
Avec cette nouvelle créature évoquée dans les récits mythologiques mexicains, j'ai cru un moment qu'on tenait une nouvelle bonne idée à la manière de la créature de "Ca".
J'ai vite déchanté, tant l'auteur semble se désintéresser de la potentialité qu'offrait pourtant l'irruption d'une croyance populaire ancestrale à l'époque contemporaine.
Pour ma part, l'auteur adulé me laisse encore sur ma faim, mais je continue d'y croire malgré tout, même si c'est la déception qui prévaut une fois sur deux...
Comme beaucoup de chroniqueurs le précisent sur Babelio, la première partie est la plus entraînante, je suis d'accord avec ça. C'est lorsque surgit le surnaturel, que le récit entre dans un mode "ron-ron" qui m'a ennuyé (de là à dire que S. King devrait se cantonner au récit policier, il n'y a qu'un pas...).
Avec cette nouvelle créature évoquée dans les récits mythologiques mexicains, j'ai cru un moment qu'on tenait une nouvelle bonne idée à la manière de la créature de "Ca".
J'ai vite déchanté, tant l'auteur semble se désintéresser de la potentialité qu'offrait pourtant l'irruption d'une croyance populaire ancestrale à l'époque contemporaine.
Pour ma part, l'auteur adulé me laisse encore sur ma faim, mais je continue d'y croire malgré tout, même si c'est la déception qui prévaut une fois sur deux...
