Peur bleue

J'ai bien aimé la structure particulière du roman, découpée en 12 chapitres pour les 12 mois de l'année. Les chapitres sont succincts et se déroulent sur une ou deux journées seulement au moment de la pleine lune. L'histoire est hachurée comme l'existence du loup-garou.

Le héros est un jeune garçon en fauteuil roulant. Lui, connaît l'identité du loup-garou ! Un esprit très Spielberg ou Strangers Things (LA série à voir ! Foncez sur Netflix si ce n'est pas encore fait !) avec un enfant pour sauver « le monde » 🙂 Et un des thèmes de prédilections de King.

Le roman est très court pour un King. On est loin des grandes descriptions habituelles. Ici, on se rapproche plutôt des premiers romans ou même du format « nouvelles ». C'est écrit dans le même style : court et le manque de détail m'a manqué. La coupure de la narration, qui se déroule deux jours par mois, ne m'a pas aidé à me plonger dans ce roman. Je n'ai pas réussi à entrer vraiment dans l'histoire que j'ai trouvée superflue et bâclée. Pourtant, j'aime les histoires de loup-garous !

Quant à lui, le script est encore plus mou que le roman. Je n'en ai pas (encore) vu l'adaptation cinématographique mais il ne m'en a clairement pas donné envie !
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