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Critique de Walex
Cette BD me laisse sur ma faim, quelle frustration !
Pour les côtés positifs, le livre est bien épais, et nous offre une centaine de pages d'une belle qualité graphique ! le dessin est vraiment très soigné et détaillé, les trames et nuances subtiles (il s'agit d'un Comics noir et blanc), les compositions recherchées, parfois même très originales. de ce côté-là c'est une belle réussite.
Le gros point négatif concerne, malheureusement, l'enquête en elle-même : On est loin, mais vraiment très loin de la qualité d'un Conan Doyle ou d'un Agatha Christie, que ce soit dans l'originalité du meurtre commis, des facilités narratives ou la résolution de l'intrigue. Outre cette grosse déception s'ajoute le fait que cette histoire, originalement publiée outre-Atlantique en 1986, apporte avec elle quelques stéréotypes un peu en décalage avec notre époque… (rien d'étonnant toutefois pour un auteur paru dans « Heavy Metal », le magazine US inspiré de Métal Hurlant).
Malgré cela, la lecture s'est avérée être un agréable moment, mêlant passages réalistes, souvenirs et fantasmagories. Ce n'est vraiment pas un mauvais livre, qui se termine par une postface du dessinateur bienvenue qui permet de contextualiser intelligemment la création de l'oeuvre.
Livre découvert à l'occasion d'une opération Masse critique.
Pour les côtés positifs, le livre est bien épais, et nous offre une centaine de pages d'une belle qualité graphique ! le dessin est vraiment très soigné et détaillé, les trames et nuances subtiles (il s'agit d'un Comics noir et blanc), les compositions recherchées, parfois même très originales. de ce côté-là c'est une belle réussite.
Le gros point négatif concerne, malheureusement, l'enquête en elle-même : On est loin, mais vraiment très loin de la qualité d'un Conan Doyle ou d'un Agatha Christie, que ce soit dans l'originalité du meurtre commis, des facilités narratives ou la résolution de l'intrigue. Outre cette grosse déception s'ajoute le fait que cette histoire, originalement publiée outre-Atlantique en 1986, apporte avec elle quelques stéréotypes un peu en décalage avec notre époque… (rien d'étonnant toutefois pour un auteur paru dans « Heavy Metal », le magazine US inspiré de Métal Hurlant).
Malgré cela, la lecture s'est avérée être un agréable moment, mêlant passages réalistes, souvenirs et fantasmagories. Ce n'est vraiment pas un mauvais livre, qui se termine par une postface du dessinateur bienvenue qui permet de contextualiser intelligemment la création de l'oeuvre.
Livre découvert à l'occasion d'une opération Masse critique.
