>
Critique de Nio
Le précédent tome se terminait sur un suspense impressionnant, après quelques tomes parfois en demi-teinte et ici Invincible ne faiblit pas.
Rebondissements intenses au programme pour un jeu d'échec qui envoie bouler toutes ses pièces avec une jubilation des plus noires. Kirkman et Ottley passent donc définitivement la cinquième (ils ont d'ailleurs annoncé avoir entamé les 1 à 12 derniers tomes qui vont clôre définitivement la série, laissant donc l'oeuvre à leur seules mains plutôt qu'elle soit reprise par d'autres auteurs comme c'est souvent le cas dans l'univers des super-héros, que ce soit de l'écurie Marvel ou DC comics, fait rare à souligner) pour le grand jeu de massacre impressionnant qui oblige à revoir certains fondements de la série.
Sans spoiler, disons qu'on avait pas vraiment su voir ou anticiper ce genre de retournement ici même si à d'autres reprises, Kirkman avait intelligemment négocié le coche, par exemple en laissant son super-héros, Invincible tenter de comprendre les motivations de ce qui peut pousser un "super-méchant" à basculer dans le mal, quitte pour celà à laisser sa part d'humanité un peu au vestiaires et voir plus large pour le genre humain. Brillant. Et bien il semble qu'on continue pour un bon moment dans cette direction, preuve que les auteurs se sont repris au sein d'une oeuvre parfois inégale avec ses hauts et ses bas mais où une certaine excellence dominait.
Rebondissements intenses au programme pour un jeu d'échec qui envoie bouler toutes ses pièces avec une jubilation des plus noires. Kirkman et Ottley passent donc définitivement la cinquième (ils ont d'ailleurs annoncé avoir entamé les 1 à 12 derniers tomes qui vont clôre définitivement la série, laissant donc l'oeuvre à leur seules mains plutôt qu'elle soit reprise par d'autres auteurs comme c'est souvent le cas dans l'univers des super-héros, que ce soit de l'écurie Marvel ou DC comics, fait rare à souligner) pour le grand jeu de massacre impressionnant qui oblige à revoir certains fondements de la série.
Sans spoiler, disons qu'on avait pas vraiment su voir ou anticiper ce genre de retournement ici même si à d'autres reprises, Kirkman avait intelligemment négocié le coche, par exemple en laissant son super-héros, Invincible tenter de comprendre les motivations de ce qui peut pousser un "super-méchant" à basculer dans le mal, quitte pour celà à laisser sa part d'humanité un peu au vestiaires et voir plus large pour le genre humain. Brillant. Et bien il semble qu'on continue pour un bon moment dans cette direction, preuve que les auteurs se sont repris au sein d'une oeuvre parfois inégale avec ses hauts et ses bas mais où une certaine excellence dominait.
