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Critique de bdelhausse
Le tome est lent. Pas vraiment de rebondissements cinglants, très peu de rôdeurs... un peu à l'image de la mollesse que redoutent Andréa et Abraham... Ils se le disent... et si le fait de se poser les ramolissait, les faisait s'empâter, se relâcher...
Ils semblent être arrivés dans une communauté où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes... l'air est connu.
Petit à petit, le voile se déchire. Abraham sauve la vie d'une femme que le groupe laissait se faire dévorer, par couardise. Rick monte un plan pour récupérer des armes, Glen l'aide. Cela prouve combien il est difficile d'aller contre sa nature. Ils en parlent. Et si notre nature était de toujours se déplacer, de toujours vivre borderline. Et s'il devenait de plus en plus difficile de faire confiance? Et Carl n'est pas en reste.
C'est la question principale. Ce tome aborde de nouveau la nature humaine et la capacité d'adaptation psychologique.
Rick, aux prises avec sa culpabilité, va se focaliser sur un mari qui bat sa femme et son gosse. C'est bien la paille et la poutre qui sont à l'oeuvre.
Un très bon tome, faussement lent, loin d'être superficiel. Qui s'écarte du gore pour sonder l'âme humaine.
Ils semblent être arrivés dans une communauté où tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes... l'air est connu.
Petit à petit, le voile se déchire. Abraham sauve la vie d'une femme que le groupe laissait se faire dévorer, par couardise. Rick monte un plan pour récupérer des armes, Glen l'aide. Cela prouve combien il est difficile d'aller contre sa nature. Ils en parlent. Et si notre nature était de toujours se déplacer, de toujours vivre borderline. Et s'il devenait de plus en plus difficile de faire confiance? Et Carl n'est pas en reste.
C'est la question principale. Ce tome aborde de nouveau la nature humaine et la capacité d'adaptation psychologique.
Rick, aux prises avec sa culpabilité, va se focaliser sur un mari qui bat sa femme et son gosse. C'est bien la paille et la poutre qui sont à l'oeuvre.
Un très bon tome, faussement lent, loin d'être superficiel. Qui s'écarte du gore pour sonder l'âme humaine.
