>
Critique de Amy_
Mais quel tome ! Je n'arrive pas à me remettre de mes émotions, j'en ai encore le visage brulant et le coeur qui palpite, c'était quelque chose. Je pense que c'est pour l'instant, l'un des meilleurs épisodes de la saga, je suis conquise (et dévastée aussi).
Après l'attaque d'un groupe de survivants, les coups de feu échangés ont attiré une horde de rôdeurs. La communauté d'Alexandria doit désormais se préparer au pire, mais est-elle prête pour un tel affront ?
Le schéma peut paraitre rébarbatif car finalement c'est toujours la même chose : le groupe trouve un endroit, rencontre de nouveaux survivants, des tensions apparaissent, des pertes sont à déplorer et les rôdeurs viennent mettre tout le monde d'accord. Il faut alors tout reconstruire, et repartir à zéro en trainant son lot de traumatismes. Mais comme je l'ai déjà dit dans mes précédentes chroniques, j'aime tellement cette saga, les personnages et cet univers que je ne parviens pas à ressentir une once de lassitude. Par ailleurs, la psychologie poussive des personnages fait que même si les situations se répètent, leurs réactions elles évoluent, ça tient donc le lecteur en haleine. Il n'y a qu'à voir la montée de courage d'Eugène que l'on espérait pourtant plus, ou le message d'espoir balancé par Rick alors que son monde s'effondre.
Le seul petit bémol que je pourrais émettre concerne les dessins, j'avais parfois du mal à reconnaitre qui était qui, notamment Douglas, je n'ai compris que bien plus tard dans les dialogues qu'il s'agissait de lui, c'est pour dire. Cela dit, ça ne reste qu'un détail, les scènes restent bien retranscrites, l'horreur et le gore atteignent ici leur paroxysme.
En tout cas, ce tome aura été un véritable condensé d'actions, d'émotions et de rebondissements avec le retour de la menace des rôdeurs, c'était addictif et haletant, impossible de poser le comics avant de connaitre l'issue de nos héros. Je ressors secouée par cette lecture que j'ai passé en apnée, même si je n'ignore plus le sadisme dont peut faire preuve l'auteur, il arrive toujours à me surprendre en nous arrachant des personnages emblématiques. Il ne fait pas bon ménage de s'attacher aux survivants et pourtant, comment y résister quand tout est fait pour qu'on les aime ? Dilemme compliqué, mais c'est ce qui fait tout le charme et le succès de cette saga. Je suis encore une fois impatiente de savoir où Kirkman va nous mener dans les prochains tomes.
Après l'attaque d'un groupe de survivants, les coups de feu échangés ont attiré une horde de rôdeurs. La communauté d'Alexandria doit désormais se préparer au pire, mais est-elle prête pour un tel affront ?
Le schéma peut paraitre rébarbatif car finalement c'est toujours la même chose : le groupe trouve un endroit, rencontre de nouveaux survivants, des tensions apparaissent, des pertes sont à déplorer et les rôdeurs viennent mettre tout le monde d'accord. Il faut alors tout reconstruire, et repartir à zéro en trainant son lot de traumatismes. Mais comme je l'ai déjà dit dans mes précédentes chroniques, j'aime tellement cette saga, les personnages et cet univers que je ne parviens pas à ressentir une once de lassitude. Par ailleurs, la psychologie poussive des personnages fait que même si les situations se répètent, leurs réactions elles évoluent, ça tient donc le lecteur en haleine. Il n'y a qu'à voir la montée de courage d'Eugène que l'on espérait pourtant plus, ou le message d'espoir balancé par Rick alors que son monde s'effondre.
Le seul petit bémol que je pourrais émettre concerne les dessins, j'avais parfois du mal à reconnaitre qui était qui, notamment Douglas, je n'ai compris que bien plus tard dans les dialogues qu'il s'agissait de lui, c'est pour dire. Cela dit, ça ne reste qu'un détail, les scènes restent bien retranscrites, l'horreur et le gore atteignent ici leur paroxysme.
En tout cas, ce tome aura été un véritable condensé d'actions, d'émotions et de rebondissements avec le retour de la menace des rôdeurs, c'était addictif et haletant, impossible de poser le comics avant de connaitre l'issue de nos héros. Je ressors secouée par cette lecture que j'ai passé en apnée, même si je n'ignore plus le sadisme dont peut faire preuve l'auteur, il arrive toujours à me surprendre en nous arrachant des personnages emblématiques. Il ne fait pas bon ménage de s'attacher aux survivants et pourtant, comment y résister quand tout est fait pour qu'on les aime ? Dilemme compliqué, mais c'est ce qui fait tout le charme et le succès de cette saga. Je suis encore une fois impatiente de savoir où Kirkman va nous mener dans les prochains tomes.
