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Critique de Fandol


Hajime Komoto, toujours traduit par Jean-Benoît Silvestre, le reconnaît lui-même, jamais il n'aurait cru poursuivre l'aventure de Mashle jusqu'au tome 4. C'est pourquoi il remercie tous ceux qui lui font confiance et achètent les volumes de sa série de mangas. Cela a au moins le mérite de la sincérité…
Comme Albin, mon petit-fils, tient à ce que je poursuive l'aventure dans ce monde magique, me voilà à nouveau sur les traces de Mash Burnedead. Ce héros continue à déjouer tous les pièges qui lui sont tendus.
Grâce à une force physique hors du commun et, il faut le souligner, une intelligence assez prodigieuse, il résiste après avoir souffert et enduré les pires insultes ou vexations.
Dans ce quatrième tome, huit chapitres lui sont consacrés. Un seul est réservé à Dot Barrett qui, comme cela est rappelé au début, est « impulsif et braillard, n'a pas la cote avec les filles et déteste les garçons plus beaux que lui. »
Si Mash Burnedead est toujours friand de choux à la crème, cela est moins évident dans ce tome, sauf lors d'un moment décisif.
Dans son parcours pour tenter de s'imposer à l'académie de magie Easton pour tout simplement rester lui-même, Mash doit affronter des adversaires de plus en plus coriaces et tellement imbus de leur supériorité qu'ils frisent le ridicule ou l'atteignent vraiment.
Comme d'habitude, les dessins sont pleins de vie et d'énergie. Les affrontements éclatent sur une ou deux pages et sont agrémentés de formules magiques qui me désorientent un peu. Qu'importe ! Il faut se laisser emporter et je suis captivé par cette histoire pleine de frayeurs et de rebondissements.
Enfin, dans Mashle, certaines répliques et formules sont d'un bon sens idéal pour réfléchir aux rapports sociaux, loin des écoles de magie, dans l'école de la vie, tout simplement.

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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