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Critique de Fredounette
Cet ouvrage donne quelques astuces réellement intéressantes.
Mais ce qui me déplaît beaucoup est l'idée "fil rouge" selon laquelle nous posséderions tous trop d'objets qui nous encombrent car nous ne savons pas les jeter. Il en va ainsi bien sûr pour les clients de Marie Kondo. Mais cette généralisation est excessive et heureusement fausse.
D'autre part Marie Kondo indique que jeter un objet par jour ne lui convenait pas, car elle achète quotidiennement plusieurs objets. Pour éviter d'avoir à jeter, il est pourtant évident qu'il faut acheter peu d'objets. La première action pour avoir un intérieur et une vie ordonnés n'est donc pas de jeter, mais de cesser de céder aux sirènes de la société de consommation, et de décider tout simplement d'acheter moins. Prévenir vaut mieux que guérir.
Sans parler de décroissance, n'acheter que lorsque c'est vraiment nécessaire est également un état d'esprit qui facilite le rangement.
Par ailleurs, je rejoins les avis des autres lecteurs : au lieu de jeter, il convient de donner ce qui est encore utilisable.
Enfin, une grande partie des propos de ce livre est résumée dans l'adage "Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place". Mais peut-être ce dicton n'est-il pas aussi populaire au Japon qu'en France.
Mais ce qui me déplaît beaucoup est l'idée "fil rouge" selon laquelle nous posséderions tous trop d'objets qui nous encombrent car nous ne savons pas les jeter. Il en va ainsi bien sûr pour les clients de Marie Kondo. Mais cette généralisation est excessive et heureusement fausse.
D'autre part Marie Kondo indique que jeter un objet par jour ne lui convenait pas, car elle achète quotidiennement plusieurs objets. Pour éviter d'avoir à jeter, il est pourtant évident qu'il faut acheter peu d'objets. La première action pour avoir un intérieur et une vie ordonnés n'est donc pas de jeter, mais de cesser de céder aux sirènes de la société de consommation, et de décider tout simplement d'acheter moins. Prévenir vaut mieux que guérir.
Sans parler de décroissance, n'acheter que lorsque c'est vraiment nécessaire est également un état d'esprit qui facilite le rangement.
Par ailleurs, je rejoins les avis des autres lecteurs : au lieu de jeter, il convient de donner ce qui est encore utilisable.
Enfin, une grande partie des propos de ce livre est résumée dans l'adage "Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place". Mais peut-être ce dicton n'est-il pas aussi populaire au Japon qu'en France.
