Des rêves puisqu'il se réveille mais qui sont cauchemars juste assez étrange pour ne pouvoir être effrayants, et pourtant ancrés dans la vie quotidienne, si quotidienne qu'ils ne sont rêves que parce qu'ils ont ce petit pas de côté avec la réalité telle que je la perçois, et parce qu'il se réveille. Court, mais pendant 44 pages le sourire est le plus souvent resté flottant sur mes lèvres.
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