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Critique de tchouk-tchouk-nougat


En mai 1918, les trains entiers de soldats tchèques se retrouvent coincer à la gare de Tcheliabinsk. Selon les accords les russes doivent les laisser passer mais dans les faits c'est moins sur...

Kris et Pendanx début ainsi leur grande épopée du transsibérien, en pleine première guerre mondiale et dans un contexte de guerre civile dans les pays de l'est.
J'avoue, je connais très peu l'histoire de ses pays. des tchèques, de l'Ukraine, de la Russie et tous ses pays de l'est où semble-t-il il régnait un joyeux bordel à cette époque. du coup, comme aucun rappel historique n'est fait, j'étais complétement perdue. J'ai eu beaucoup de mal à saisir les différents politiques et les changements de nationalités de nos personnages centraux. cela m'a énormément gênée dans ma lecture.
Nous suivons deux soldats ukrainiens : Jaroslav l'écrivain à la langue bien pendue, et Pepa le peintre plus jeune plus réservé. Tous les deux attendent des jours meilleurs à la gare de Tcheliabinsk avec leurs compatriotes.
L'histoire est très lente à démarrer, fait quelques retours en arrière pour nous montrer la première rencontre de nos héros et le début de la guerre. Puis se termine par un coup d'éclat qui met le feu au poudre.

Le dessin de Jean-Denis Pendanx est fin, proche de l'esquisse des fois, et avec une colorisation aquarelle dans les tons sépias qui donne un air nostalgique à cette bande dessinée.
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