AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de gayane


gayane
17 décembre 2014
Alors que l'on croyait la race des Griffons éteinte, le jeune et cruel Shogun des îles de Shima ordonne à Masuru, son chasseur royal et sa fille Yukiko de capturer l'une de ces créatures mythiques sous peine de mort.
Sans trop d'espoir, Masuru et Yukiko partent en chasse et contre toute attente, trouvent le dernier des Yokai encore vivant.
Malheureusement, suite au crash de leur bateau volant, Yukiko se retrouve seule dans la forêt hostile des montagnes d'Iishi en compagnie du griffon mutilé.
Elle va devoir faire appel à son don pour amadouer à créature.

Premier tome de la trilogie de la Guerre du Lotus qui pose les bases d'un univers steampunk, vraiment bien ficelé et très complexe sur fond de moyen-âge japonais. C'est juste génial pour les fans de Japon !
Les personnages sont plutôt mystérieux, l'intrigue également avec des revirements de situation et des révélations, une Yukiko et un Buruu attachants et un tyran absolument détestable au possible.

Malgré tous ces gros points positifs, il en faut bien quelques négatifs.
Tout d'abord, un point négatif qui n'en est pas un : l'univers qui peu paraître trop riche, tellement qu'il y a un glossaire à la fin du roman. J'ai eu un peu de mal à me faire à tous ces nouveaux termes mais au final j'ai appris à faire avec et ajoutent peut être plus de vraissemblance tout en montrant une vraie recherche et une vraie réflexion de l'auteur.
Ensuite, il y a quelques moments où j'ai un peu décroché : le début étant une phase introductive d'un univers complexe mais également des nouveaux termes, j'ai dû forcer un peu ma lecture.
J'ai également ressenti un petit temps mort, une petit impasse vers la dernière partie du roman, durant une impasse dans l'intrigue ...
Enfin je regrette l'utilisation du terme griffon utilisé dans la quatrième de couverture puisque celui-ci n'est pas utilisé dans le roman. Serait-ce une volonté de l'éditeur d'occidentaliser la référence ? En tout cas, je trouve cela dommage. En effet, Buruu est décrit comme un trigre de tonerre, un Arashitora.

De petits points négatifs pas bien méchants puisque je lirais la suite avec plaisir !
Commenter  J’apprécie          110



Ont apprécié cette critique (8)voir plus




{* *}