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Critique de Alfaric
Dans ce tome 23, intitulé "Mala Suerte !", après la phase Raditz nous voilà à la phase Végéta, Ichigo étant appelé à rencontrer son principal antagoniste…
Bon je passe sur les problèmes d’hébergement dans le monde des humains des shinigamis, qui multiplient les gags des 10 premiers tomes, ainsi que sur les planches fanservice basées sur les attributs mammaires et fessiers d’Inoue Orihime et de Rangiku Matsumoto… (on voit bien que cela ne sert à rien, à part calmer les responsables éditoriaux qui veulent à tout prix augmenter le nombre de boobs par page dans l’espoir de grignoter quelques parts de marché : pitoyable de la part de ceux qui sont les premiers à parler bon goût, culture et intelligence !) L’éclaireur dénommé Ulquiorra Schiffer fait son rapport à Aizen, et une tête brûlée dénommée Grimmjow Jaggerjack se met martel en tête de faire un tour sur terre pour faire le ménage au nom de son maître !
Evidemment, dès leur arrivée ils se séparent pour tomber rapidement à bras raccourcis sur les membres de la team élargie d’Ichiro et ainsi multiplier directement et sans transition les scène de combats : Rukia battant son premier vis-à-vis en 1 seul coup avant de se faire battre par son 2e vis-à-vis en 1 seul coup, il faut compter sur le combat entre le shinigami Ikkaku et l’arrancar Eldorado pour apporter de la tension et du suspens à ce tome qui se termine par quelques histoires courtes…
Toujours énervé par les gros changements apportés dans l’univers, qui dépendent essentiellement des impératifs du moment pour faire durer la série le plus longtemps possible alors qu’ici il aurait suffit d’une seule explication pour que tout tienne la route : les boss et sous-boss hollows étaient forts mais inoffensifs pour la Soul Society tant qu’ils restaient divisés, la menace vient d’Aizen qui grâce à la perle de la destruction est devenu suffisamment fort pour les unifier et dans les ténèbres les lier… C’est pas sorcier bordel de construire une saga tout en restant cohérent !
Bon je passe sur les problèmes d’hébergement dans le monde des humains des shinigamis, qui multiplient les gags des 10 premiers tomes, ainsi que sur les planches fanservice basées sur les attributs mammaires et fessiers d’Inoue Orihime et de Rangiku Matsumoto… (on voit bien que cela ne sert à rien, à part calmer les responsables éditoriaux qui veulent à tout prix augmenter le nombre de boobs par page dans l’espoir de grignoter quelques parts de marché : pitoyable de la part de ceux qui sont les premiers à parler bon goût, culture et intelligence !) L’éclaireur dénommé Ulquiorra Schiffer fait son rapport à Aizen, et une tête brûlée dénommée Grimmjow Jaggerjack se met martel en tête de faire un tour sur terre pour faire le ménage au nom de son maître !
Evidemment, dès leur arrivée ils se séparent pour tomber rapidement à bras raccourcis sur les membres de la team élargie d’Ichiro et ainsi multiplier directement et sans transition les scène de combats : Rukia battant son premier vis-à-vis en 1 seul coup avant de se faire battre par son 2e vis-à-vis en 1 seul coup, il faut compter sur le combat entre le shinigami Ikkaku et l’arrancar Eldorado pour apporter de la tension et du suspens à ce tome qui se termine par quelques histoires courtes…
Toujours énervé par les gros changements apportés dans l’univers, qui dépendent essentiellement des impératifs du moment pour faire durer la série le plus longtemps possible alors qu’ici il aurait suffit d’une seule explication pour que tout tienne la route : les boss et sous-boss hollows étaient forts mais inoffensifs pour la Soul Society tant qu’ils restaient divisés, la menace vient d’Aizen qui grâce à la perle de la destruction est devenu suffisamment fort pour les unifier et dans les ténèbres les lier… C’est pas sorcier bordel de construire une saga tout en restant cohérent !
