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Critique de Mero
J'ai découvert Sayonara Monsieur Désespoir grâce à sa version animée pour laquelle j'ai tout de suite eu un coup de coeur.
Itsohiki Nozomu a une personnalité hors du commun, toujours au paroxysme de la négativité et de l'obsession suicidaire car tout le désespère, y compris le désespoir lui-même. Cette idée du fatalisme absolu est une véritable originalité dans l'univers du shonen.
L'oeuvre multiplie constamment les références à la société japonaise, tellement d'ailleurs qu'il faut plusieurs pages au traducteur pour nous les expliquer à chaque fin de tome. Une redondance qui finit par devenir lassante puisque l'on se sent exclu de ne pas les connaitre instinctivement et que les tomes s'alignent toujours sur la même mécanique. C'est un gros défaut qui finit par enrayer cet humour burlesque pourtant si attachant.
Itsohiki Nozomu a une personnalité hors du commun, toujours au paroxysme de la négativité et de l'obsession suicidaire car tout le désespère, y compris le désespoir lui-même. Cette idée du fatalisme absolu est une véritable originalité dans l'univers du shonen.
L'oeuvre multiplie constamment les références à la société japonaise, tellement d'ailleurs qu'il faut plusieurs pages au traducteur pour nous les expliquer à chaque fin de tome. Une redondance qui finit par devenir lassante puisque l'on se sent exclu de ne pas les connaitre instinctivement et que les tomes s'alignent toujours sur la même mécanique. C'est un gros défaut qui finit par enrayer cet humour burlesque pourtant si attachant.
