Un roman qui porte bien son titre, vraiment insignifiant, à part dans son tout début plutôt amusant avec l'analyse dela charge érotique du nombril féminin que l'on ne voyait guère dans la rue avant l'an 2000 mais aujourd'hui a envahi le paysage, favorisant une contemplation fugace par l'homme.
Quant à la fête, ce n'est pas celle du lecteur qui sature vite avec les mises en scènes farfelues de Staline et de ses sbires. le nombril revient à un moment, donnant l'impression que l'auteur tient à faire du remplissage, mais le charme est déjà rompu.
Quant audernier épisode dans les jardins du Luxembourg, c'est un délire de plus avec la statue de Marie de Médicis dont une balle sectionne le nez, mais il ne sera pas question de son nombril.
Pour moi, une lecture sans intérêt.
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