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Critique de kobaitchi
Mon gros problème avec ce manga c'est que je ne cesse de confondre les personnages entre elles.
Et le format, des histoires toujours présentées en quatre cases, n'aide en rien à y voir plus clair.
De plus, si le tome 1 se concentrait essentiellement sur trois des héroïnes, le deuxième en a introduit beaucoup en plus et certaines se ressemblent vraiment trop. du coup, la double pages de qui est qui présente en début de volume m'a été, pour une fois, d'une grande aide. Alors qu'en temps normal j'ai tendance à zapper ces pages de récap. J'ai ainsi pu me rappeler qui était les personnages et quelles étaient leurs relations. Oui, parce que pour ne pas aider, ma lecture du tome deux commence à remonter à un petit paquet de temps. Deux ans si on suppose que je l'avais acheté à sa sortie, un peu moins si je me l'étais procuré à MIA. Mais quoi qu'il en soit ça fait longtemps.
Je n'ai jamais été extrêmement fan de ce titre, le trouvant au mieux mignon, sans ressentir d'attachement particulier envers les personnages.
L'histoire trop décousue et le manque de linéarité ont du jouer pour beaucoup dans cette impression. C'était un pari osé que de réaliser tout un album (et deux autres depuis) d'histoires en quatre cases alors que ce format est généralement réservé à quelques pages bonus en fin de tome. Étonnement ça ne fonctionnait pas trop mal mais je ne pouvais m'empêcher de penser que ça manquait quand même d'un petit quelque chose.
Et, dans ce troisième tome, justement, ce petit quelque chose on l'a enfin trouvé. Les différentes histoires se percutent un peu plus qu'avant, ce qui, du coup, n'aide pas à la différenciation des protagonistes. Mais, surtout, bien qu'on conserve presque exclusivement le même découpage en quatre case, une linéarité se crée. Il n'y a plus ou presque plus de grosses cassures entre les strips et on suit régulièrement une même histoire pendant plusieurs pages. Ce qui est infiniment plus pratique pour s'intéresser et s'attacher. Les personnages commencent aussi à avoir un peu plus de profondeur et, bien que ce ne soit jamais très clair, certaines romances semblent s'officialiser. Que ce soit parmi les filles qu'on connait déjà ou certaines nouvelles têtes, heureusement au design suffisamment différent, ce qui évite qu'on ne commence à les confondre aussi.
(lire la suite sur le blog)
Lien : http://kobaitchi.com/inu-nek..
Et le format, des histoires toujours présentées en quatre cases, n'aide en rien à y voir plus clair.
De plus, si le tome 1 se concentrait essentiellement sur trois des héroïnes, le deuxième en a introduit beaucoup en plus et certaines se ressemblent vraiment trop. du coup, la double pages de qui est qui présente en début de volume m'a été, pour une fois, d'une grande aide. Alors qu'en temps normal j'ai tendance à zapper ces pages de récap. J'ai ainsi pu me rappeler qui était les personnages et quelles étaient leurs relations. Oui, parce que pour ne pas aider, ma lecture du tome deux commence à remonter à un petit paquet de temps. Deux ans si on suppose que je l'avais acheté à sa sortie, un peu moins si je me l'étais procuré à MIA. Mais quoi qu'il en soit ça fait longtemps.
Je n'ai jamais été extrêmement fan de ce titre, le trouvant au mieux mignon, sans ressentir d'attachement particulier envers les personnages.
L'histoire trop décousue et le manque de linéarité ont du jouer pour beaucoup dans cette impression. C'était un pari osé que de réaliser tout un album (et deux autres depuis) d'histoires en quatre cases alors que ce format est généralement réservé à quelques pages bonus en fin de tome. Étonnement ça ne fonctionnait pas trop mal mais je ne pouvais m'empêcher de penser que ça manquait quand même d'un petit quelque chose.
Et, dans ce troisième tome, justement, ce petit quelque chose on l'a enfin trouvé. Les différentes histoires se percutent un peu plus qu'avant, ce qui, du coup, n'aide pas à la différenciation des protagonistes. Mais, surtout, bien qu'on conserve presque exclusivement le même découpage en quatre case, une linéarité se crée. Il n'y a plus ou presque plus de grosses cassures entre les strips et on suit régulièrement une même histoire pendant plusieurs pages. Ce qui est infiniment plus pratique pour s'intéresser et s'attacher. Les personnages commencent aussi à avoir un peu plus de profondeur et, bien que ce ne soit jamais très clair, certaines romances semblent s'officialiser. Que ce soit parmi les filles qu'on connait déjà ou certaines nouvelles têtes, heureusement au design suffisamment différent, ce qui évite qu'on ne commence à les confondre aussi.
(lire la suite sur le blog)
Lien : http://kobaitchi.com/inu-nek..
