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Critique de Charlye
Dans ce roman, nous faisons la connaissance de Violaine Letellier, chasseuse de têtes dans un cabinet de recrutement.
Son quotidien est monotone, mais elle nous le raconte avec énormément d'humour.
Elle est issue d'une famille de cinq enfants, son père est militaire et sa mère est "une mère au foyer" qui reprend des études de psychologie. La désinscription des membres de sa famille est désopilante et également rassurante quand à la santé mentale des nôtres ... enfin je crois.
Elle souffre d'un complexe d'infériorité, pense ne pas avoir de qualités très intéressantes et vit très mal le fait d'être encore célibataire.
Ses collègues et son directeur sont tout aussi déglingués : une secrétaire qui prend tout ce qu'on lui dit comme une critique, même lorsqu'il s'agit d'un compliment, Marc, le commercial est un jeune cadre dynamique qui se prend pour un requin, et qui ne pense que "bénéfice pour l'entreprise", et son directeur est un aristocrate complètement à l'ouest qui ne rêve que de quitter le bureau pour rejoindre son cercle de poésie.
C'est pendant une campagne de recrutement que va se produire un événement qui va chambouler son quotidien avant de bouleverser sa vie. Un des candidats convoqués pour l'entretien final avec un chef d'entreprise va être retrouvé mort près de la machine à café. La police intervient et se rend très vite compte que c'est un meurtre.
L'enquête qui suivra, et à laquelle va participer notre héroïne, bien qu'elle ait des rebondissements très surprenants, ne sera qu'un prétexte à une suite de situations loufoques et à des dialogues qui m'ont fait rire aux larmes. La fin ne déroge pas du reste du roman avec une surprise de taille.
Ce roman est une superbe découverte, drôle, inventif, bien écrit, qui se lit d'une traite. J'ai adoré. C'est même un coup de coeur !
Pour un premier roman c'est un coup de maître.
Son quotidien est monotone, mais elle nous le raconte avec énormément d'humour.
Elle est issue d'une famille de cinq enfants, son père est militaire et sa mère est "une mère au foyer" qui reprend des études de psychologie. La désinscription des membres de sa famille est désopilante et également rassurante quand à la santé mentale des nôtres ... enfin je crois.
Elle souffre d'un complexe d'infériorité, pense ne pas avoir de qualités très intéressantes et vit très mal le fait d'être encore célibataire.
Ses collègues et son directeur sont tout aussi déglingués : une secrétaire qui prend tout ce qu'on lui dit comme une critique, même lorsqu'il s'agit d'un compliment, Marc, le commercial est un jeune cadre dynamique qui se prend pour un requin, et qui ne pense que "bénéfice pour l'entreprise", et son directeur est un aristocrate complètement à l'ouest qui ne rêve que de quitter le bureau pour rejoindre son cercle de poésie.
C'est pendant une campagne de recrutement que va se produire un événement qui va chambouler son quotidien avant de bouleverser sa vie. Un des candidats convoqués pour l'entretien final avec un chef d'entreprise va être retrouvé mort près de la machine à café. La police intervient et se rend très vite compte que c'est un meurtre.
L'enquête qui suivra, et à laquelle va participer notre héroïne, bien qu'elle ait des rebondissements très surprenants, ne sera qu'un prétexte à une suite de situations loufoques et à des dialogues qui m'ont fait rire aux larmes. La fin ne déroge pas du reste du roman avec une surprise de taille.
Ce roman est une superbe découverte, drôle, inventif, bien écrit, qui se lit d'une traite. J'ai adoré. C'est même un coup de coeur !
Pour un premier roman c'est un coup de maître.
