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Critique de Entournantlespages
Alors que Mat Landes, ancien reporter, vient de se faire virer de son emploi de journaliste, son meilleur ami lui fait part de la promesse qu'il a fait à Jade, la femme disparue de Mat. Celle-ci archéologue était partie avec son frère Dominique en Sibérie où ils avaient découvert le territoire d'un peuple reclus à l'écart de tout et oublié. Prise affection pour ces mystérieux habitants, elle avait promis de revenir afin de les aider. Mais la vie de Jade et de Mat a été sillonnée d'horribles événements ; d'abord la mort de leur enfant puis la maladie qui a emporté Jade, laissant Mat seul face à ses démons. Quelqu'un doit retourner en Mongolie, et seul Mat peut reprendre le flambeau à la mémoire de sa femme.
Il va alors quitter son pays pour se rendre dans un autre qui lui est inconnu afin de comprendre ce que Jade devait accomplir. Et en arrivant sur cette terre étrangère, il ne se doutait pas un seul instant que sa vie allait prendre un tournant aussi extrême. Parvenu à rencontrer les derniers membres du peuple rose, il va devoir entreprendre une longue route, telle une course effrénée, pour la survie de ses nouveaux compagnons, Jaidha et sa fille. le résumé de ce roman donne déjà un aperçu sur tout le mystère, tous les secrets qu'entretient le peuple rose. Quel est-il réellement ? de quoi se cache t-il ? Est-ce que Mat sera assez fort, assez ingénieux pour l'aider ?
Dès le début du récit, nous découvrons dans une alternance de points de vue d'un côté la survie de Jaidha en Mongolie et de l'autre la vie confortable de Mat Landes. Un contraste dans le ton de la narration est rapidement remarquable, Mat utilisant un langage très familier. Moi qui n'apprécie pas forcément ce genre de ton, ce langage quelque peu vulgaire est rapidement nuancé et n'apporte alors aucun accro à la lecture face à cette nouvelle aventure en territoire inconnu. le passé de Mat nous fait comprendre tout son caractère bourru, autodestructeur et impulsif. Néanmoins, il n'hésitera pas à faire ce qui doit être fait. Son passé rapidement découvert fait comprendre au lecteur tous ses choix, toutes ses peines et on ne peut que s'attacher à cet homme abîmé mais qui cherche à avancer.
Mat nous mène alors dans une aventure captivante où le danger va être permanent pour lui et pour ceux qui l'accompagnent, ceux qu'il protège. le lecteur rentre facilement dans le récit pour n'en sortir qu'à la toute fin, au moment où tout est révélé, où tous les secrets sont éventés et où Mat trouve dans un certain sens une forme de paix. Je ne m'attendais pas à être autant émue par les personnages, par ce qu'ils vivent ensemble, par les choix qui doivent prendre pour leur survie et pour celles des personnes autour d'eux. Les contrastes entre l'occidental Mat et Jaidha, en marge de la société mongolienne, sont d'autant plus intéressants dans cette course afin d'essayer de s'enfuir du pays asiatique. Les traditions, les modes de pensée et de parler sont différents des nôtres et donc, d'autant plus attrayant à découvrir. Je remercie donc Jean-luc Lafarge pour m'avoir permis de découvrir son roman qui, je suis sûr, plaira a beaucoup de lecteurs.
Lien : https://entournantlespages.w..
Il va alors quitter son pays pour se rendre dans un autre qui lui est inconnu afin de comprendre ce que Jade devait accomplir. Et en arrivant sur cette terre étrangère, il ne se doutait pas un seul instant que sa vie allait prendre un tournant aussi extrême. Parvenu à rencontrer les derniers membres du peuple rose, il va devoir entreprendre une longue route, telle une course effrénée, pour la survie de ses nouveaux compagnons, Jaidha et sa fille. le résumé de ce roman donne déjà un aperçu sur tout le mystère, tous les secrets qu'entretient le peuple rose. Quel est-il réellement ? de quoi se cache t-il ? Est-ce que Mat sera assez fort, assez ingénieux pour l'aider ?
Dès le début du récit, nous découvrons dans une alternance de points de vue d'un côté la survie de Jaidha en Mongolie et de l'autre la vie confortable de Mat Landes. Un contraste dans le ton de la narration est rapidement remarquable, Mat utilisant un langage très familier. Moi qui n'apprécie pas forcément ce genre de ton, ce langage quelque peu vulgaire est rapidement nuancé et n'apporte alors aucun accro à la lecture face à cette nouvelle aventure en territoire inconnu. le passé de Mat nous fait comprendre tout son caractère bourru, autodestructeur et impulsif. Néanmoins, il n'hésitera pas à faire ce qui doit être fait. Son passé rapidement découvert fait comprendre au lecteur tous ses choix, toutes ses peines et on ne peut que s'attacher à cet homme abîmé mais qui cherche à avancer.
Mat nous mène alors dans une aventure captivante où le danger va être permanent pour lui et pour ceux qui l'accompagnent, ceux qu'il protège. le lecteur rentre facilement dans le récit pour n'en sortir qu'à la toute fin, au moment où tout est révélé, où tous les secrets sont éventés et où Mat trouve dans un certain sens une forme de paix. Je ne m'attendais pas à être autant émue par les personnages, par ce qu'ils vivent ensemble, par les choix qui doivent prendre pour leur survie et pour celles des personnes autour d'eux. Les contrastes entre l'occidental Mat et Jaidha, en marge de la société mongolienne, sont d'autant plus intéressants dans cette course afin d'essayer de s'enfuir du pays asiatique. Les traditions, les modes de pensée et de parler sont différents des nôtres et donc, d'autant plus attrayant à découvrir. Je remercie donc Jean-luc Lafarge pour m'avoir permis de découvrir son roman qui, je suis sûr, plaira a beaucoup de lecteurs.
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