Lafargue, nous dit le texte en quatrième de couverture, est en prison au moment des funérailles de
Victor Hugo, et c'est là qu'il écrit ce réjouissant petit livre qui ne laisse plus grand chose debout du Grand Homme, dont il montre les incessantes compromissions avec tous les pouvoirs successifs, même avec celui de
Napoléon III qui lui fournit l'occasion de se refaire une virginité révolutionnaire. Une lecture indispensable et revigorante, un livre vraiment insolent, pour une fois.
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